Jai hĂąte d’arriver au jour oĂč je serais maman. Mais ce n’est pas prĂšs d’arriver pour le moment. Je n’ai mĂȘme pas encore de papa pour mon bĂ©bĂ© ". Mais ce n’est pas en passant ses

Personnellement je n'arriverai pas vraiment Ă  dire si physiquement elle tient plus de Monsieur Le Papa ou de moi. Je laisse ce plaisir aux autres de se tracasser si elle a mes yeux ou sa bouche. Ces derniers temps ce qui me frappe le plus c'est dans son comportement et dans son caractĂšre. Une Mymy Capricieuse ... comme Maman. Je ne peux pas le cacher plus longtemps et encore moins Ă  ceux qui me connaissent rĂ©ellement. Il n'y a rien Ă  en dire si ce n'est qu'elle supporte trĂšs mal la frustration, qu'elle se roule par terre si elle n'a pas ce qu'elle veut et qu'elle pleure {avec les grosses babines hun} si on lui donne pas ce bout de pain/gĂąteau... C'est pas Ă©vident de se revoir ainsi mais elle a exactement les mĂȘmes manies que quand j'Ă©tais enfant et les mĂȘmes expressions. Ma rĂ©action Je me mors les joues .. pas le droit de rire et surtout impossible qu'elle ait ces rĂ©actions la. Ni une ni deux je ne rigole pas, je ne cĂšde pas Ă  son caprice, je lui rĂ©explique pourquoi elle a pas le droit. Si elle a la manie de se rouler Ă  terre, par chance elle se relĂšve direct mais zou dans le parc pour rĂ©flĂ©chir Ă  sa bĂȘtise. Non mais oh ! Une Mymy brute comme son pĂšre. Il faut l'avouer, Monsieur le papa n'est pas un pro des gestes tendres et pour lui un cĂąlin ressemble plus Ă  un cĂąlin bagarreur qu'Ă  un moment posĂ©. Du coup, j'ai une Mymy qui fait un cĂąlin au chat en se jetant littĂ©ralement dessus, elle fait des cĂąlins Ă  ses copains de CrĂšche qui ressemble Ă  des prises de Catch {d'aprĂšs les taties}. Elle veut faire des caresses mais balance des claques magistrales Ă  la place. Ma rĂ©action Ça m'Ă©nerve. Je me fĂąche en lui reprenant sa main et en rectifiant son geste et si elle persiste elle est punie. Elle sait que c'est pas bien ce qu'elle fait car elle dit "nan nan nan" avant de le faire ! {ma fille cette chipie}. Une Mymy consciencieuse et ultra prĂ©cise comme son pĂšre. Son pĂšre est d'une nature plus posĂ©e et rĂ©flĂ©chie que moi qui peut avoir tendance Ă  bĂącler. MalgrĂ© la fougue de sa jeunesse et ses mouvements encore parfois un peu brusque, quand elle le veut elle entre dans une grande concentration et elle est ultra prĂ©cise. Elle s'applique comme jamais. Lorsqu'elle lit ses livres, elle ne crie pas, elle tourne les pages de façon trĂšs mĂ©thodique et touche tout d'un doigt bien assurĂ©. Hier lors du nouvel an elle a passĂ© de trĂšs longues minutes Ă  se concentrer pour faire rentrer les confettis dans le tube.. elle a fait part d'une concentration hallucinant pour l'heure qu'il Ă©tait. Ma rĂ©action je l'en fĂ©licite et je l'encourage Ă  continuer, je prends mon temps pour l'observer et l'aider si besoin. Une Mymy danseuse et pleine de vie comme sa Maman. On sait tous qu'un enfant a Ă©normĂ©ment d'Ă©nergie. Emmy a toujours Ă©tĂ© trĂšs Ă©veillĂ©e. Ça a souvent surprise sa pĂ©diatre depuis qu'elle est nĂ©e. On a trĂšs vite compris qu'elle adorait la musique. Elle veut souvent mettre la musique et danse Ă  son rythme dessus c'est trop drĂŽle. Elle est trĂšs souvent en train de rigoler pour rien et parle Ă©normĂ©ment {tiens ça me rappelle quelqu'un... }. Ma rĂ©action Je passe de longues minutes Ă  lui courir aprĂšs et Ă  la chatouiller. Elle adore ça. Lorsqu'elle parle je cherche Ă  comprendre ce qu'elle dit et je participe Ă  sa conversation, qu'elle ai vraiment cette sensation d'Ă©change. Une Mymy chipie .. comme sa Maman. Emmy sait quand elle va faire ou quand elle fait une bĂȘtise. Elle nous regarde elle lĂšve son petit index et fait "nan nan nan nan" et faisant son sourire en coin .. Une sacrĂ© chipie qui teste beaucoup les limites et qui quand elle s'est fait disputĂ© cherche rapidement Ă  avoir un cĂąlin derriĂšre. J ai un tempĂ©rament un peu testeur aussi oĂč je trouve des subterfuges pour faire passer la pilule si besoin ! Ma rĂ©action J'ai une Ă©ducation beaucoup dans l'explication mais quand tu testes et provoques trop, zou punition. Une Mymy dormeuse ... comme son papa. Emmy a toujours eu besoin de dormir.. beaucoup dormir. Elle a eu besoin de 2 siestes par jour jusqu'Ă  ses 14 mois presque. Si elle dort pas la journĂ©e elle passe une mauvaise nuit derriĂšre. Son pĂšre est un trĂšs grand dormeur trĂšs adepte des siestes. J'ai Ă©tĂ© un peu contaminĂ© par ça mais j'ai pas autant besoin de dormir la journĂ©e qu'eux en tout cas. Ma rĂ©action Je m'adapte. Ça me fait du bien et je me calque sur les horaires de Mymy. Une Mymy curieuse ... comme sa Maman. Emmy passe beaucoup de temps Ă  observer les gens et les lieux qui l'entourent. Souvenez vous je vous avait parler du fait que Mymy refusait strictement le porte bĂ©bĂ© si elle n'Ă©tait pas face Ă  la route {elle avait 2 mois!} De plus, elle est nĂ©e les yeux ouvert Ă  nous regarder droit dans les yeux pendant de trĂšs longues minutes. Ma rĂ©action Je l'encourage et je l'encadre! Lorsqu'elle regarde trop longtemps les gens dans l'ascenseur ou la rue je lui dĂ©tourne l'attention et je lui explique pourquoi il faut pas. Une Mymy gourmande ... comme ses 2 parents. On est assez du genre grignoteur et on mange Ă  des horaires un peu biscornues {boulot Ă  horaires dĂ©calĂ©es oblige} .. TrĂšs rapidement Emmy a rĂ©clamer Ă  manger Ă  la cuillĂšre et a abandonnĂ© le biberon. Depuis plusieurs semaines, on ne peut pas entrer dans la cuisine sans qu'elle dise "donne" .. sans mĂȘme qu'on est ouvert un placard ! Ma rĂ©action On fait attention aux horaires, juste aprĂšs son petit dĂ©jeuner on lui donner morceau de pain ou biscuit mais pas plus, rien en approche des repas .. mĂȘme si elle se roule Ă  terre ; Une Mymy amoureuse de son pĂšre .. comme sa Maman On en a dĂ©jĂ  parlĂ© mais ma fille est totalement accro Ă  son pĂšre !! Elle sait dire Maman quand elle en a besoin mais elle n'a que le mot "papa" dans la bouche ... Comment je peux lui en vouloir ?! Y en a une qui a Ă©tĂ© accro avant elle D Bref, En soit on le sait tous. Le meilleur vient de nous et le pire vient de l'autre parent, c'est bien connu .. Mais quand on se reconnaĂźt en nos enfants en plus de nous donner le sourire instinctivement ça regonfle nos cƓurs pour de nouvelles aventures avec nos bambins .. qui grandissent bien trop vite ! Et vous ?! C'est plus papa ou Maman ?! Bonne journĂ©e. Floriane <3 Non C'est pour cela que, sur TikTok, une jeune maman, connue sous le pseudonyme @abi.twinsmom, a demandĂ© aux autres mĂšres de lui raconter "la chose la
PubliĂ© le 4 sept. 2020 Ă  800Mis Ă  jour le 5 sept. 2020 Ă  1819A 21 heures, les parents peuvent reprendre le cours de leur vie. Ils soufflent un petit peu
 avant de prĂ©parer une rĂ©union ou rĂ©pondre au mail envoyĂ© dans l'aprĂšs-midi par une journaliste. Le rendez-vous est fixĂ© le lendemain avec Sabrina, une jeune mĂšre de 35 ans, avocate dans un cabinet d'affaires. D'ici lĂ , je vais essayer de dormir car mes deux bĂ©bĂ©s 2 ans et 11 mois ne me laissent pas tranquille », Ă©crit-elle, par mail. Sabrina n'a en effet pas connu une nuit complĂšte depuis deux ans. Les raisons ? Un boulot plus que prenant et deux enfants en bas Ăąge. Avant mĂȘme la galĂšre du tĂ©lĂ©travail et du confinement lire notre article sur le sujet , sa vie s'est peine le petit Nael arrivĂ©, qu'une Lilia Ă©tait dĂ©jĂ  en route. Je suis revenue de congĂ© maternitĂ© enceinte », confie-t-elle. PremiĂšre rĂ©action ? Merde, pour le boulot, ça va ĂȘtre compliquĂ©. » Mais vite raisonnĂ©e, Sabrina s'est lancĂ©e dans cette nouvelle aventure. Comme je suis passionnĂ©e par mon travail, j'allais plaider les dossiers importants et je dĂ©lĂ©guais le reste », explique-t-elle. Un rythme tout de mĂȘme effrĂ©nĂ© pour cette jeune maman qui n'a jamais vraiment dĂ©crochĂ©, au point d'aller plaider la veille de son accouchement. Aujourd'hui, aidĂ©e par une nounou et son mari, directeur de projet dans une entreprise, elle se force Ă  rentrer plus tĂŽt » du boulot, aux alentours de 19 h 45 pour ĂȘtre avec ses deux enfants. Je privilĂ©gie la qualitĂ© du temps passĂ© avec eux plutĂŽt que la quantitĂ©. Ce sont des moments oĂč je suis pleinement avec eux ». Et pour rattraper ce qu'elle manque, elle travaille dĂ©sormais
 le dimanche matin. Moment oĂč son mari prend le relais, de mĂȘme le soir lorsque la jeune mĂšre doit rester au boulot. Mais la charge mentale reste trĂšs prĂ©sente et les enfants ont tendance Ă  rĂ©clamer en prioritĂ© leur tĂ©lĂ©travail en vedetteComme Sabrina, le quotidien de jeunes parents est loin d'ĂȘtre toujours rose. Au-delĂ  des nuits raccourcies, des biberons et autres couches, c'est de jongler entre le boulot et la vie personnelle qui reste le plus compliquĂ©. Chez Elise et SĂ©bastien, tout a changĂ© avec la naissance de leurs filles de 4 ans et 18 mois. Elle est cadre dans les ressources humaines, lui, consultant indĂ©pendant. Depuis la naissance de sa seconde fille, la maman est dĂ©sormais Ă  80 % pour se libĂ©rer une journĂ©e avec ses enfants. J'ai regrettĂ© de ne pas voir grandir ma premiĂšre fille », explique-t-elle. MĂȘme si son temps de travail a Ă©tĂ© officiellement rĂ©duit, ainsi que son salaire, elle ne travaille pas moins pour autant, mes journĂ©es sont plus intenses », reconnaĂźt-elle. Heureusement pour le couple, une invention des temps modernes a changĂ© la donne le tĂ©lĂ©travail. Tous les deux travaillent de la maison le vendredi, rĂ©duisant ainsi leurs frais de garde -qui s'Ă©lĂšvent Ă  environ euros par mois en nounous- et l'un d'entre eux peut aller chercher la grande Ă  l'Ă©cole, Ă  l'heure des parents » Ă  16 h le tĂ©lĂ©travail qui s'est dĂ©veloppĂ© Ă  la faveur de la crise sanitaire, certains parents ont pu grappiller un peu de sommeil sur les temps de prĂ©paration et de transport du matin. Une Ă©tude anglaise a pointĂ© que les jeunes parents dormaient en moyenne 4 h 44 par nuit, 59 % de moins que les 8 heures gĂ©nĂ©ralement prĂ©conisĂ©es. Chez Carlo, associĂ© avec sa femme dans deux TPE et pĂšre d'une petite fille de deux mois, c'est encore moins. Avec les trois biberons la nuit, on dort 3-4 heures par nuit week-end inclus. MĂȘme si avant on avait un rythme de sommeil court, autour de six heures, lĂ  c'est plus difficile Ă  gĂ©rer. Heureusement, c'est temporaire », veut-il se arrive, on fait des rĂ©unions et le sujet, au dĂ©part, vous semble Ă  des annĂ©es-lumiĂšre de vos prĂ©occupations de retour de congĂ© maternitĂ©Pour ces trentenaires, leurs congĂ©s parentaux s'apparentent plutĂŽt Ă  un congĂ© tĂ©lĂ©travail ». Carlo va prendre ses onze jours de congĂ© paternitĂ© Ă  la fin du mois, mais je ne me voile pas la face, mĂȘme si je ne serai pas du tout au bureau, je continuerai Ă  suivre mes mails », explique-t-il. Sauf qu'il faudra bien un jour lever le pied, reconnaissent-ils. Et c'est dĂ©jĂ  prĂ©vu ils vont trĂšs prochainement recruter pour se dĂ©gager du temps et s'occuper de leur petite fille. Avec l'Ăšre de la digitalisation, c'est plus facile. Je ne sais pas comment faisaient nos parents avant », poursuit Sophie*, 35 ans, cadre dans la communication, qui peut aisĂ©ment rĂ©pondre Ă  ses mails Ă  tout moment ou avoir son ordi sur les genoux dans les transports. Tu as fait la grasse matinĂ©e ce matin ? »Peur d'ĂȘtre placardisĂ©es, de devoir gĂ©rer les remarques employeurs, et de perdre en efficacitĂ©, ce qui inquiĂšte surtout ces jeunes mĂšres, c'est le retour du congĂ© maternitĂ©. Le premier mois, c'est horrible c'est comme si vous dĂ©barquiez dans un nouveau boulot, explique Mathilde, 33 ans, manager marketing dans une grande entreprise, mĂšre d'un petit bout de 17 mois et enceinte du deuxiĂšme. On arrive, on fait des rĂ©unions et le sujet, au dĂ©part, vous semble Ă  des annĂ©es-lumiĂšre de vos prĂ©occupations quotidiennes. »Au cours de ses douze annĂ©es de travail, plusieurs recruteurs n'ont pas hĂ©sitĂ© Ă  demander Ă  Sophie si elle avait prĂ©vu d'avoir des enfants
 Une question discriminante et surtout illĂ©gale, passible de euros d'amendes et trois ans de prison. Dans son ancien boulot, ses supĂ©rieurs Ă©taient trĂšs regardants sur les horaires et finir Ă  18 h 30 avait tendance Ă  ĂȘtre mal vu ». MĂȘme si, en France, le temps de travail a Ă©tĂ© rĂ©duit avec la mise en place des 35 heures au dĂ©but du siĂšcle, une Ă©tude de l'Insee rĂ©vĂšle que 40 % des cadres vont au-delĂ  de 40 heures de travail hebdomadaires, et que 24 % dĂ©passent les 45 heures .Un rythme ardu Ă  tenir quand on doit encore faire ses preuves », surtout Ă  28 ans, Ăąge auquel Sophie a eu son premier enfant. En particulier quand il faut allaiter Il a fallu demander un frigo performant au travail et une salle pour tirer mon lait, se souvient-elle. Et difficile de rester discrĂšte vis-Ă -vis des collĂšgues lorsque tout le monde te voit dĂ©barquer avec ta mini-valise de matĂ©riel. »En mĂȘme temps, la pression sociale et personnelle, encore plus avec la crise, est grande pour rester au top, sur tous les fronts. Raison pour laquelle, les femmes cadres ont tendance Ă  retarder la maternitĂ© pour consolider leur situation professionnelle. Elles ont en moyenne leur premier enfant Ă  33 ans, contre 30 pour femmes ouvriĂšres ou employĂ©es, note l'Insee . Il faut ĂȘtre une bonne mĂšre et toujours performante au bureau. On trouve des ressources qu'on n'imaginait pas. L'ĂȘtre humain s'habitue Ă  tout », remarque Sophie. Être une superwoman, en somme, avant de se rendre compte qu'on ne peut pas tout gĂ©rer. Aujourd'hui dans une autre entreprise et mĂšre d'un deuxiĂšme enfant, elle relativise Si une journĂ©e, j'ai une baisse de rĂ©gime au travail, tant pis. Alors qu'avant, cela me minait, et je me disais que j'allais me faire virer. » J'Ă©tais le seul papa de ma boĂźte »Comme Sophie, Sabrina, l'avocate, a dĂ» encaisser les remarques de ses confrĂšres Tu as fait la grasse matinĂ©e ce matin ? » Et parfois, la pression est plus vicieuse. Alors enceinte de jumeaux, avec une grossesse difficile, Julie*, aussi avocate, a dĂ» s'arrĂȘter plus tĂŽt. Elle a nĂ©gociĂ© avec ses mĂ©decins de dĂ©caler son arrĂȘt de travail deux semaines plus tard. J'avais un sentiment de culpabilitĂ© envers mon travail. Mais finalement, c'Ă©tait une trĂšs mauvaise idĂ©e car j'ai terminĂ© mes dossiers Ă  la hĂąte. AprĂšs, le cabinet n'arrĂȘtait pas de m'appeler pour me faire des reproches », explique-t-elle. J'Ă©tais le seul papa dans une start-up d'une trentaine de personnes. Quand je partais tĂŽt, j'Ă©tais un peu gĂȘnĂ©, je n'avais pas de remarques, mais je sentais une pression sociale insidieuse », se souvient Laurent, 35 ans, jeune pĂšre de quatre garçons. Pour les fondateurs, hors de question aussi, de tĂ©lĂ©travailler. Depuis quelques mois chez Payfit, une fintech française, Laurent jouit avec son dernier-nĂ© de son congĂ© parental de quatre semaines, scindĂ© en deux pour s'occuper des enfants durant les vacances scolaires. Payfit fait en effet partie des 334 entreprises françaises qui ont prĂ©vu un congĂ© plus long que les 11 jours rĂ©glementaires pour le second parent. Je sens clairement la diffĂ©rence, avance ce jeune cadre, qui a annoncĂ© juste avant de rejoindre l'entreprise que sa femme attendait leur quatriĂšme enfant. On voit vite l'ADN d'une boĂźte quand on fait ce genre d'annonce et je n'ai pas senti une once d'inquiĂ©tude. »Partir en week-end, un dĂ©mĂ©nagement »Pour gĂ©rer leurs garçons, de 6, 4, 2 ans et le dernier, deux mois, le couple s'est muni d'une nounou Ă  temps plein. Sa femme, qui travaille chez Microsoft, est encore en congĂ© maternitĂ©. Pour gĂ©rer leur tribu, ils dĂ©boursent environ euros par mois en nounou et baby-sitters. La plupart des parents sont unanimes, se faire aider, tout comme dialoguer avec son conjoint pour mieux anticiper sont les clĂ©s d'une bonne organisation. Sans mon conjoint, je n'aurai jamais rĂ©ussi Ă  gĂ©rer carriĂšre et vie de famille. Le point saillant lĂ -dessus, c'est le besoin de solidaritĂ© », explique Sophie, la directrice dans la communication, qui fonctionne au quotidien avec une boucle Whatsapp, oĂč parents, frĂšres et amis se relaient en cas d' dire que notre vie ne va pas ĂȘtre bouleversĂ©e est une pure croyanceCarlo, entrepreneurReste que tous sont catĂ©goriques, leur vie sociale a pris un sacrĂ© coup, en particulier durant les premiĂšres annĂ©es. Entre boulot, enfants, couple et amis, il faut prioriser, quitte Ă  rĂ©ajuster au fil du temps et des circonstances, constatent les jeunes parents. Avec mon mari, on recommence tout juste Ă  se refaire un restau, glisse Sabrina, l'avocate. Du cĂŽtĂ© des sorties le week-end en famille, c'est le branle-bas de combat Quand on part avec deux bĂ©bĂ©s, on vit un dĂ©mĂ©nagement », poursuit-elle. Et puis mĂȘme sortir tout court ressemble au parcours du combattant. Avec une poussette pour jumeaux, vous n'avez mĂȘme pas la place pour vous asseoir en terrasse, d'avancer sur le trottoir sans se prendre des poubelles et encore moins prendre les transports en commun », se dĂ©sole Julie, l'avocate, mĂšre de jumeaux, qui s'est dĂ©jĂ  fait insulter par des conducteurs de bus parce qu'elle prenait trop de place
 »Heureusement, dans le quotidien de la parentalitĂ©, difficile en particulier les premiĂšres annĂ©es, quelques rayons de soleil se dessinent. Mes enfants font mon bonheur et je suis Ă©panouie dans mon boulot. Un gamin, c'est une joie de vivre, un pilier, cela apporte Ă©normĂ©ment d'amour et d'affection », tĂ©moigne Sabrina, avec enthousiasme. Se dire que notre vie ne va pas ĂȘtre bouleversĂ©e est une pure croyance », poursuit Carlo, qui, en contrepartie, ne peut s'empĂȘcher de se ravir de sa petite Tiara. Je ne comprenais pas mes amis papa qui montraient la photo de leur enfant Ă  tout bout de champ
 » DĂ©sormais, il fait exactement pareil.*Les prĂ©noms ont Ă©tĂ© modifiĂ©s
Connupour son rÎle dans Maman, j'ai raté l'avion, Devin Ratray est dans la tourmente. L'acteur de 45 ans incarne le personnage de Buzz McCallister dans le film

Dans ma tribu Ă  moi, les stĂ©rĂ©otypes de genres n’ont pas cours. Je bricole, Mamour cuisine, Bibou adore jouer Ă  la dĂźnette, Titou a un poupon rose bonbon qu’il promĂšne dans une poussette assortie et mĂȘme Minette mets leur misĂšre Ă  tous les matous du quartier. Mais on n’est pas sectaire non plus j’adore faire du shopping, Mamour regarde des matchs de foot en beuglant sur l’arbitre, Bibou et Titou ont chacun une multitude de petites voitures et Minette est trĂšs cĂąline. Ouais
 chez nous, le genre, le sexe, on s’en fout. Bien sĂ»r, nous sommes influencĂ©s par notre culture comment faire autrement ? mais on essaie de ne pas se mettre de limites en raison de notre sexe et de ne pas en mettre Ă  nos fils. S’ils veulent faire de la danse, ils en feront. S’ils prĂ©fĂšrent le rugby, ils en feront aussi. Et notre organisation familiale est le reflet de tout ça. Nos idĂ©aux vs la rĂ©alitĂ© Je n’ai jamais eu pour rĂȘve de m’arrĂȘter de bosser pour Ă©lever mes enfants d’ailleurs, les enfants n’étaient mĂȘme pas dans mes rĂȘves. En revanche, Mamour se verrait bien homme au foyer si on en avait les moyens. Je travaille Ă  temps plein, lui non. J’aime mon mĂ©tier, lui se cherche encore un peu. C’est donc Ă©videmment lui qui passe le plus de temps avec nos fils. Dit comme ça, ça paraĂźt simple. J’ai mĂȘme cru longtemps que ça l’était. Mais il y a une chose qu’on avait sous-estimĂ©e et que je ne fais que rĂ©aliser maintenant
 C’est que les enfants ont BESOIN de leur maman
 mais genre vraiment besoin
 et besoin de passer du temps en tĂȘte-Ă -tĂȘte avec elle peut-ĂȘtre les garçons plus que les filles, je ne sais pas
 si tu as des filles, tu as sĂ»rement une opinion lĂ -dessus. CrĂ©dits photo creative commons StockSnap Moi qui ai passĂ© mon enfance dans une famille oĂč c’était le papa qui Ă©tait le plus souvent absent, je n’ai jamais ressenti ses absences comme un manque. J’ai toujours aimĂ© mon papa trĂšs fort, mais les moments oĂč il Ă©tait lĂ  me suffisaient et ceux oĂč il n’était pas lĂ  nous donnaient l’occasion, Ă  mon frĂšre et Ă  moi, de passer du temps seuls avec notre maman et ça nous convenait. En revanche, passer du temps seuls avec notre papa ne nous manquaient pas spĂ©cialement. Les quelques fois oĂč ça arrivait Ă©taient assez nombreuses pour que ça nous suffise. Loin de moi l’idĂ©e de faire des gĂ©nĂ©ralitĂ©s. Peut-ĂȘtre que mes fils sont comme ça, mais que d’autres sont diffĂ©rents. Mais en tous cas, les miens me font clairement sentir que mes absences leur pĂšsent, voire mĂȘme, me les font payer
 Quand c’est Papa
 Pourtant, je ne suis pas une mĂšre absente. Non. Je suis juste MOINS prĂ©sente que Mamour. Dans l’organisation d’un jour classique, je suis lĂ  le matin pour m’occuper d’eux, pour emmener Bibou Ă  l’école, je suis lĂ  le soir pour aller le chercher, pour l’aider Ă  se doucher, voire pour doucher Titou, je suis lĂ  pour les couchers. Je limite mes activitĂ©s professionnelles en dehors des horaires de bureau aux obligations incontournables. Mais justement, obligations incontournables il y a certains soirs et certains week-ends. L’organisation ces jours-lĂ  prend un tout autre tour et Mamour s’occupe alors de tout ou presque, ce qui, Ă  moi, ne m’arrive pour ainsi dire jamais. En gĂ©nĂ©ral, quand je rentre, j’ai droit Ă  un accueil en fanfare. Mamaaaan ! » CĂąlins. Bisous. Viens voir, maman, viens voir ! », Tu peux venir jouer avec moi ? » Bref, ils sont heureux de me retrouver et c’est vraiment trĂšs agrĂ©able comme accueil. Mais ça se gĂąte assez rapidement jalousie entre frĂšres qui veulent tous les deux m’avoir pour soi tout seul, incomprĂ©hension du fait que je ne puisse pas toujours ĂȘtre disponible pour eux dans la seconde Attendez, j’enlĂšve mes chaussures. » Deux, minutes j’ai trĂšs envie de faire pipi. » HĂ© les garçons, je n’ai pas encore mangĂ© moi. », jalousie envers Mamour qui a aussi des choses Ă  me dire
 Bref. Ça tourne souvent en eau de boudin dis-moi que toi aussi tu connais cette expression
. J’aime mon mĂ©tier. Travailler n’est pas non plus une passion dĂ©vorante pour autant. Je suis toujours trĂšs contente d’ĂȘtre en week-end ou en vacances. Mais pour mes deux grossesses, je n’ai pris que mon congĂ© maternitĂ© et rien de plus. Pas de congĂ© patho, pas de congĂ© parental, pas d’arrĂȘt maladie et pas de reprise Ă  temps partiel non plus. Je l’ai fait parce que je le pouvais Ă©videmment. Si j’avais eu de gros soucis de santĂ©, si j’avais mal vĂ©cu mes grossesses, si j’avais Ă©tĂ© trĂšs fatiguĂ©e, j’aurais sĂ»rement agi autrement. On n’a pas toujours le choix. Mais moi je l’avais et, si j’ai Ă©tĂ© contente de partir en congĂ© mat, je l’ai Ă©tĂ© d’autant plus que j’avais Ă©tĂ© au bout ». Et si la reprise avait un petit cĂŽtĂ© pffff » ouais, j’ai pas trouvĂ© d’adjectif, mais tu imagines la nana qui soupire parce que
 la flemme quoi !, j’étais quand mĂȘme contente de retrouver un rythme et de me rendre utile Ă  d’autres qu’à mes/mon fils. Et donc quand il a fallu trouver un mode de garde pour Bibou parce qu’on avait une place en crĂšche seulement Ă  la rentrĂ©e et qu’on avait eu le mauvais goĂ»t de faire un enfant trop tĂŽt dans l’annĂ©e, et bien, c’est Mamour qui a pris un congĂ© parental. La question ne s’est mĂȘme pas posĂ©e en fait. Moi, je n’avais nullement l’intention d’en prendre un et puis c’est moi qui gagne le plus. Donc c’était lui et ça lui faisait plaisir en plus. C’est aussi lui qui a pris le relais avec Titou, qui, lui, a eu une place en crĂšche tout de suite mais a eu le mauvais goĂ»t ouais, on est de trĂšs mauvais goĂ»t dans la famille de tomber malade pile pendant sa pĂ©riode d’adaptation. Justement, en parlant de maladie, c’est plus souvent Mamour que moi qui prend sa journĂ©e pour s’occuper d’eux dans ces cas-lĂ  pour toutes les raisons citĂ©es plus haut. C’est donc plus souvent lui qui les emmĂšne chez les docteurs en tous genres. Nan, c’est Maman ! » Bref. Ce n’est pas que je ne sois pas prĂ©sente, c’est que j’ai la chance d’avoir un Mamour TRÈS prĂ©sent. C’est une vraie chance au quotidien car je n’ai pas non plus Ă  me soucier des repas, des courses ou de la lessive. Mais c’est Ă  double-tranchant car mes fils, eux, quand ils voient leur maman, ils ne veulent QUE Maman. Et ils sont parfois un peu durs avec leur papa. Et puis, moi, sur ces temps-lĂ , ils m’épuisent parce qu’ils ne conçoivent pas que je ne sois pas Ă  100% avec eux, et avec eux deux qui plus est. Il me faudrait trois paires de bras pour bien faire
 et puis des toilettes qui ferment Ă  clĂ©s
 je sais que tu vois ce que je veux dire
 CrĂ©dits photo photo personnelle Oui. Il Ă©tait tout Ă  fait urgentissime que je lise ce numĂ©ro de de Toupie fraĂźchement reçu. Non. Ceci n’est pas une mise en scĂšne. On a beau ne pas vouloir genrer » nos vies, on est finalement rattrapĂ© pas des instincts, je crois. Et puis, peut-ĂȘtre aussi que ce sont nos attitudes Ă  Mamour et Ă  moi qui conditionnent tout ça
 Peut-ĂȘtre que le mĂ©lange des cĂŽtĂ©s control freak et protecteur de Mamour et de mes cĂŽtĂ©s indĂ©pendant et libre-arbitre » donne ce rĂ©sultat dĂ©tonnant. Tu en penses quoi, toi ?

Papane doit pas regarder en-dessous du lit si elle a peur, maman ne parlera pas à sa place quand elle voudra demander quelque chose à voix haute mais ne le fera pas parce qu’elle est timide. Dùs leur plus jeune ñge, nous les pousserons à faire face à ce qui les inquiùte, à ces petites choses qui effrayent n’importe quel enfant, quel que soit
Je pense qu'on a tous dans notre vie fait une rencontre qui restera Ă  jamais graver dans notre coeur... Lorsque j'ai connu Mon ChĂ©ri d'Amour, j'ai su qu'il y avait cette gentille dame qui fait un boulot vraiment trop chouette Ă  mon sens... Alors j'avais toujours dit Ă  Mon ChĂ©ri d'Amour que si un jour, la vie faisait qu'on avait des enfants ensemble, ca serait seulement cette gentille dame qui garderait nos enfants ! Je ne la connaissais pas plus que ça, l'aperçevais des fois du fin fond du jardin de Belle Maman et Beau Papa... Quelques fois nous avions Ă©changĂ© deux trois mots mais rien de plus.. Et pourtant je savais que ca serait ELLE... La vie a fait que Mon ChĂ©ri d"Amour et moi sommes devenus parents d'une adorable petite fille surnommĂ©e Petit Chat.. Si depuis le temps vous ne le saviez pas ! HĂ© bien maintenant vous ĂȘtes au courant ! mdr ! A peine enceinte et entre deux vomis oui oui si ca aussi vous ne le saviez pas, j'ai eu la "chance" d'ĂȘtre TRES malade mais pour le coup d'avoir une taille de guĂȘpe p, de prendre contact avec cette gentille dame pour voir avec elle si elle avait une place Ă©ventuelle pour Petit Chat lorsque je serai obligĂ©e de reprendre le travail... Mon instinct fĂ©minin a vu juste car lors de mon appel, il ne lui restait plus qu'une place correspondant pile poil Ă  nos attentes ! Je saute alors sur l'occasion et lui demande de la bloquer ! A trois jours prĂšs, c'Ă©tait FOUTU !!! OUF j'ai eu du bol ! Nous voilĂ  alors Ă  discuter au tour d'un cafĂ© et de bonbons un mercredi soir sur nos attentes vis Ă  vis de Petit Chat la concernant... On est de tempĂ©rament tranquille alors tant que je sais que ma fille sera nourrit et changĂ©e, le reste libre Ă  elle de faire comme elle le sent ! Et comme dĂ©jĂ  j'ai un bon feeling, je ne m'inquiĂšte pas ! Et d'ailleurs, je ne me suis JAMAIS inquiĂ©tĂ©e ... Normal.. ah bon pourquoi ? vous allez me dire ?? HĂ© bien je vais vous le dire ................. Parce que cette gentille dame dont je vous parle depuis quelques lignes maintenant, elle est juste... EXTRA ! TOPISSIME ! MAGNIFIQUE ! oui oui tout ca Ă  la fois ! Au cours de notre discussion, elle m'avait demandĂ© si j'avais pensĂ© Ă  un notre mode de garde pour Petit Chat...heu ba franchement... pas vraiment.. j'ai croisĂ© les doigts trĂšs fort pour avoir une place chez cette gentille dame trop chouette ! Et la chance m'a sourit Non je n'y ai pas pensĂ© car pour tout vous dire, j'ai ressenti un truc chez cette gentille dame que je ne pourrais pas expliquer mais je savais que mon Petit Chat se porterait Ă  merveille chez elle ! Et une maman ne se trompe JAMAIS ! ou presque... lol mais pas sur cette gentille dame en tout cas ! HĂ© oui l'heure de la reprise a sonnĂ©... Mes chers et tendres collĂ©giens m'attendent ... et je dois laisser Petit Chat... aprĂšs deux mois et demi de vie H24 ensemble.. dur dur.. mais je savais que lĂ  oĂč je la laisserai, elle y serait bien... HĂ© bien, je ne me suis pas trompĂ©e..! Premier soir, nous avons un Petit Chat au top de sa forme, souriante Ă  s'en manger les oreilles et plus Ă©veillĂ©e que jamais.. sans cris, sans pleurs... alors qu'avant, nous avions le droit Ă  une scĂšne de pleurs le soir systĂ©matique ^^ OK.. bien alors que t'a donnĂ© cette gentille dame pour que tu sois si mignonne avec Papa et Maman...??? Vraiment on s'interroge ! Petit Chat aurait pu nous faire "payer" cet abandon journalier pour cause de travail obligatoire mais non RIEN ! QUE DAL ! NADA ! Bon on va pas se plaindre non plus ! Plus les jours passent et un lien se crĂ©e avec cette gentille dame... un dame si bienveillante si attentionnĂ©e si gentille et pour le coup aussi bien avec Petit Chat qu'avec moi ! La sĂ©paration est difficile pour bĂ©bĂ© mais pour maman aussi ! Que je vous rassure vu les sourires le matin en la dĂ©posant et les sourires le soir.. ma foi elle n'avait pas l'air malheureuse cette enfant ! Normal vous allez me dire petite sieste le matin, puis balade avec les copains dans une mĂ©ga poussette top trop cool pour aller donner Ă  manger l'Ăąne, biberon et sieste de ouf puis gouter avec les copains et parc ou bras ou transat en attendant papa ou maman... franchement elle est pas belle la vie ?? Sans compter les inombrables calins, bisous gouzi gouzi et douces caressesde la part de cette gentille dame trop cool ! Et puis Petit Chat a dĂ©cidĂ© de partir dans son sommeil chez cette gentille dame... la laissant dans une tristesse si intense... Alors par ces mots je tenais Ă  rassurer cette gentille dame qu'elle a toujours fait un travail exemplaire, sans faille et avec tant de bienveillance.. C'est plus qu'une gentille dame, c'est une amie, la "maman de jour" comme je disais de Petit Chat car je savais durant mon absence qu'elle lui donnerait autant d'amour que moi je pouvais lui en donner.. Petit Chat nous unissait mais elle nous unira pour toujours et cette gentille dame fait partie intĂ©grante de notre vie. J'ai besoin de la voir, de lui parler, d'avoir des calins et des bisous de sa part car ils sont remplis d'amour.. Ca me fait du bien de discuter avec elle et j'ai besoin de lui montrer que je serais toujours lĂ  pour elle. J'ai tenu Ă  lui offrir un petit livre pour enfant rĂ©sumant son travail car pour moi il est important de lui apporter mon soutien dans cette Ă©preuve commune.. C'est une Ă©preuve terrible pour des parents mais pour cette gentille dame aussi et il ne faut pas l'oublier... Jamais je n'ai eu un soupçon envers son travail JAMAIS car Ă  mes yeux elle est trĂšs importante pour tous ces petits enfants qui croisent son chemin et pour Petit Chat ça a Ă©tĂ© le cas... J'aime cette gentille dame dĂ©mesurĂ©ment pour tout ce qu'elle reprĂ©sente, une dame attentionnĂ©e, Ă  lĂ©coute, professionnelle, de bons conseils, rigolote, pleine d'humour et remplie de tendresse, si rassurante...Et si c'Ă©tait refaire, je refais exactement pareil ...! ;Une rencontre Ă  jamais gravĂ© dans mon coeur...
Souventil les appelle Papa et je ne sais pas oĂč me mettre !" Si CĂ©line, qui Ă©lĂšve seule son garçon de 11 ans, n'a jamais connu une telle situation, elle aussi Ă©voque des difficultĂ©s
InvitĂ©InvitĂ©Dim 15 Jan 2012 - 1657La petite louve hivernale Ă©tait partie en balade. Maman Herenya avait des choses Ă  faire alors elle lui avait donnĂ© l'autorisation de sortir de la taniĂšre. A condition qu'elle ne sorte pas du territoire hivernal. La petite Meneldil avait opinĂ© du chef et Ă©tait partie sans se faire trop de soucis. Les autres loups du clan ne lui feraient pas de mal. Souvent, ils savaient qui elle Ă©tait. Elle se promenait souvent avec sa maman. Elle ne savait pas trop oĂč aller mais quelque chose avait retenu son regard alors qu'elle allait elle ne savait trop oĂč. Une Ă©trange construction en pierre s'Ă©levait vers le ciel. La petite louve s'avança vers l'Ă©trange chose. Elle n'Ă©tais jamais venue par ici. Elle ne connaissait pas cette endroit et sa curiositĂ© de louveteau Ă©tait bel et bien Ă©veillĂ©e. Elle voulait savoir ce que c'Ă©tait que ça. MĂȘme si cela faisait un peu peur. Elle aurait bien aimĂ© que maman ou quelqu'un d'autre soit avec elle.°ArrĂȘte de penser comme une mauviette !° se donnant du courage elle s'avança pas Ă  pas de l'Ă©trange construction. Les pierres n'Ă©taient pas comme celles de d'habitude. Elles Ă©taient rectangulaires et pas toutes irrĂ©guliĂšres comme elles l'Ă©taient ailleurs sur le territoire. Comment cela se faisait-il ? Meneldil fit le tour de la chose. Elle Ă©tait toute ronde mais avec des trous dedans. La petite louve aurait bien voulu entrer. Elle aurait voulu mais cela lui faisait un peu peur. Elle avait peur de ne pas ressortir ou, peur irrationnelle, de trouver un monstre se cachant des la pĂ©nombre. Elle ne savait pas quoi faire. Si seulement elle avait eu quelqu'un pour explorer la tour avec elle ... Cela aurait mis fin Ă  toutes ses peurs. Qu'elles soient ou illogiques et irrationnelles n'empĂȘchaient pas qu'elles soient louve marchait de long en large devant l'ouverture. Elle tentait de se donner du courage, de bonnes raisons d'y aller. Elle tentait de se fĂącher, de se dire qu'elle devait y aller si elle voulait devenir un jour une Alpha sans peur mais il n'y parvenait pas. C'Ă©tait bien trop dur. Les monstres qui se cachaient peut-ĂȘtre lĂ  ne faisaient pas de bruit. Meneldil prit une grande inspiration et, l'air dĂ©terminĂ©, elle posa une patte dans la tour. Puis une autre. Il ne se passait toujours rien. Elle se dĂ©tendait un peu lorsqu'elle entendit un bruit. Elle eut un Ă©norme sursaut et sortit prĂ©cipitamment de la tour. Mais, le bruit ne provenait pas de l'intĂ©rieur. Il provenait de l'extĂ©rieur ... InvitĂ©InvitĂ©Mer 18 Jan 2012 - 100Je traversais les Territoires ennemis pour me rendre en Territoire Neutre, au calme. Je venais d'entrer sur me Territoire Hivernal, et avait parcouru quelques kilomĂštres lorsque j'eu envie de faire un dĂ©tour par la tour de garde d'Amon Hen. J'y avais fait une petite sieste rapide, parcourue de rĂȘves irrĂ©els et effrayants, comme d' m'Ă©tais rĂ©veillĂ© en sursaut, comme d'habitude. Puis j'Ă©tais montĂ© en haut de la tour, en dissimulant mon odeur en m'entourant d'un tourbillon de vent. Je savais que je risquais gros si je me faisais attraper sur ce Territoire. D'un cĂŽtĂ©, il y avait Kiba, Alpha Hivernal, de l'autre cĂŽtĂ©, Ypso, Alpha Automnal. PlutĂŽt que d'affronter leur colĂšre, je me serais jetĂ©e dans le lac des murmures. C'est revenons Ă  nos affaires. Au bout d'une heure Ă  regarder le paysage qui s'offrait Ă  moi depuis cet endroit, j'Ă©tais redescendue, toujours protĂ©gĂ©e et dissimulĂ©e par un tourbillon de vent. Je m'Ă©tais assise sur le cĂŽtĂ© de la Tour et m'Ă©tais nettoyĂ© les pattes, des morceaux de la mousse qui poussait sur les marches s'Ă©taient accrochĂ©s entre mes fis le tour de la Tour, et l'odeur d'un louveteau Hivernal me parvint. Mon coeur eut un ratĂ©, mais je me ressaisie. Je n'avais rien Ă  craindre, ce n'Ă©tait qu'un louveteau aprĂšs que j'arrivais devant les marches qui menaient au sommet de la Tour de garde, je marchais sur une brindille, qui craqua. Le bruit fut encore plus bruyant par le fait qu'il rĂ©gnait un silence total. Je me figeais, pĂ©trifiĂ©e. J'entendis un petit cri de surprise Ă  l 'intĂ©rieur de la Tour, signe d'un sursaut. J'aperçu une petite forme sombre, tendue, apeurĂ©e, arrĂȘtĂ©e au milieu d'une marche. À peine l'avais-je aperçu qu'elle bondissait en dehors de la Tour, et je sautais sur le cĂŽtĂ©. Elle avait l'air paniquĂ©e, reniflant de tous cĂŽtĂ©s. Elle ne m'avait pas vu, mais je sortais de l'ombre et me dressais devant elle, mes longues pattes Ă©lancĂ©es fermement plantĂ©es dans le sol. Je dis, calme et rassurante- Excuse-moi, je t'ai fait peur, et ce n'Ă©tait pas mon intention. Je ne savais mĂȘme pas que tu Ă©tais lĂ . De toute maniĂšre, j'allais Ă  ce moment-lĂ  que je remarquais que son odeur Ă©tait plus forte, et son port de tĂȘte diffĂ©rent. Je pensais immĂ©diatement qu'elle devait ĂȘtre la fille d'un Alpha, et en l'occurence celle de l'Alpha de l'Hiver, et gĂ©missais intĂ©rieurement. Mince alors! Il fallait que je tombe sur un louveteau, qui plus est la fille d'un Alpha, alors que j'avais juste voulu profiter de la vue! Plus de dĂ©tours inutiles Ă  l'avenir, promis. InvitĂ©InvitĂ©Ven 20 Jan 2012 - 2132"- Excuse-moi, je t'ai fait peur, et ce n'Ă©tait pas mon intention. Je ne savais mĂȘme pas que tu Ă©tais lĂ . De toute maniĂšre, j'allais partir."Le cƓur de la jeune louve battait Ă  deux cent Ă  l'heure. Qui Ă©tait cette louve brune ? Elle ne devait pas ĂȘtre hivernale parce que les hivernaux Ă©taient plutĂŽt clairs. Quoique, pas toujours. Elle mĂȘme Ă©tait bien noire alors elle n'avait rien Ă  dire de ce cĂŽtĂ© lĂ . Elle tenta de calmer les battements dĂ©sordonnĂ©s de son cƓur. Pourquoi avait-il fallut que cette louve surgisse juste alors qu'elle entrait dans la tour ? Elle ne pouvait pas arriver plus tĂŽt alors qu'elle Ă©tait encore Ă  l'extĂ©rieur non ? Mais bon, ce n'Ă©tait pas grave. Elle avait l'air assez gentille mĂȘme si son odeur Ă©tait assez inhabituelle. Elle n'aurait su dire exactement pourquoi. Peut-ĂȘtre Ă©tait-elle rĂ©ellement d'un autre clan mais elle ne pouvait pas en ĂȘtre sĂ»re. Elle ne parvenait pas encore trĂšs bien Ă  diffĂ©rencier les odeurs qu'elle n'avait jamais senties. Et elle n'avait jamais eu l'occasion de rencontrer des loups des autres clans. Maman lui avait dit de ne pas s'aventurer sur les autres territoires parce que c'Ă©tait dangereux. Et qu'il ne fallait pas qu'elle soit blessĂ©e. Et puis, lorsqu'on appelait maman pour raccompagner un intrus elle n'avait jamais le droit de venir. Meneldil ne savait pas quoi faire. Elle avait peur de faire une erreur. Les erreurs elle n'avait pas vraiment le droit d'en faire. Elle savait que si elle en faisait maman serait déçue. Elle devait faire des efforts. Être presque parfaite. Finalement, elle sourit Ă  la louve C'est pas grave mais c'est que j'avais peur qu'il y ait un monstre dans la tour alors j'ai eu un peu peu Ă©tait un trĂšs joli euphĂ©misme mais elle n'allait sĂ»rement pas l'avouer Ă  la louve inconnue. Elle lui adressait peut-ĂȘtre la parole mais elle ne savait toujours pas qui elle Ă©tait rĂ©ellement et si elle pouvait lui faire confiance. Elle se demanda soudain si elle n'Ă©tait pas une Tueuse venue la tuer pour faire de la peine Ă  papa et maman. Elle jeta un regard craintif vers la louve, n'osant confier ses peurs Ă  voix haute. Elle ne voulait pas sembler faible. Maman ne l'avait pas Ă©duquĂ©e comme une faible. Il fallait qu'elle se montre digne d'elle. Digne de ce qu'elle lui avait appris. Parce qu'elle l'aimait sa maman. Papa aussi, mais c'Ă©tait pas pareil. Il Ă©tait moins souvent avec elle, plus occupĂ©. InvitĂ©InvitĂ©Ven 20 Jan 2012 - 2242J'entendais les battements prĂ©cipitĂ©s du coeur de la jeune louve. Elle semblait intriguĂ© par moi et mon odeur aussi sans doute. Elle devait avoir eu vraiment peur pour que son coeur batte aussi fort. Je ne me savais pas aussi impressionnnante et bout de quelques secondes, je n'entendais plus son coeur, et elle Ă©tait plus me sourit et dit- C'est pas grave mais c'est que j'avais peur qu'il y ait un monstre dans la tour alors j'ai eu un peu peur.° Un monstre! Quelle idĂ©e!°DĂ©cidĂ©menet, il n'y avait que les louveteaux pour s'imaginer des histoires pareilles, avec monstres et autres. Bien sĂ»r, on parlait beaucoup des monstres en ce moment, plus particuliĂšrement du monstre du volcan, vaincu par Ypso et Kiba, mais tout de qu'il en soit, j'Ă©tais maintenant sĂ»re que ce petit bout de chou Ă©tait bien la fille des Alphas Hivernaux. Je ne savais pas pourquoi, mais j'en Ă©tais reportais mon attention sur le louveteau, qui me regardait craintivement, l'air pensive. Je dis- Je suis une Automnale, une Tueuse plus exactement. Je la rassurais immĂ©diatement, craignant qu'elle ne prenne peur et s'enfuie- Je ne suis pas lĂ  pour te faire du mal, ne t'inquiĂštes pas petite. Je passais par lĂ , et j'ai eu envie de m'arrĂȘter ici pour un peu de temps, quelques heures Ă  peu prĂšs. Je vais m'en aller bientĂŽt, tout de suite mĂȘme, si tu veux?J'espĂ©rais qu'elle me retiendrait, j'avais envie de rester un peu et de faire sa connaissance. InvitĂ©InvitĂ©Sam 21 Jan 2012 - 1407"- Je suis une Automnale, une Tueuse plus ! Elle avait bien raison quand elle avait pensĂ© que la louve n'Ă©tait pas une hivernale. Ses poils Ă©taient trop sombre et son odeur trop bizarre. Enfin, pas bizarre bizarre, juste trĂšs inhabituelle pour elle qui ne rencontrait presque jamais personne. Par contre, la fin de sa phrase lui fit peur. TrĂšs peu mĂȘme. Elle se demanda si elle ne devait pas s'enfuir. Elle Ă©tait peut-ĂȘtre bien venue pour la tuer et que papa et maman soufrent ! Mais elle, elle ne voulait pas mourir ! Elle Ă©tait encore trop petite. C'Ă©tait que les vieux loups qui mouraient. Pas les petits louveteaux ... Enfin, il parait que ça arrivait mais elle n'en avait jamais vu. Cependant, la louve brune ne lui laissa pas le temps de filer. Elle avait du voir le dĂ©but de tremblement qui allait agiter ses petites pattes encore trop frĂȘles pour qu'elle puisse se battre ou courir longtemps et sur de longues distances."- Je ne suis pas lĂ  pour te faire du mal, ne t'inquiĂštes pas petite. Je passais par lĂ , et j'ai eu envie de m'arrĂȘter ici pour un peu de temps, quelques heures Ă  peu prĂšs."Meneldil ne savait pas si elle pouvait vraiment croire sur parole la louve. AprĂšs tout tuer ça devait ĂȘtre quelque chose d'habituel pour elle. Alors que la jeune louve, elle, n'avait jamais vraiment vu de choses violentes. Parce que maman prenait soin d'elle et la protĂ©geait tout le temps. La jeune louve se dit qu'elle pouvait peut-ĂȘtre la croire ... Parce que dans sa voix elle sentait de la gentillesse. Et puis, si elle s'Ă©tait arrĂȘtĂ©e aussi longtemps ici c'Ă©tait parce qu'elle devait aimer le territoire hivernal alors elle ne pouvait pas ĂȘtre que mauvaise."- Je vais m'en aller bientĂŽt, tout de suite mĂȘme, si tu veux?"La louve blanche et noire prit le temps de rĂ©flĂ©chir quelques secondes. Elle Ă©tait sortie pour voir des choses nouvelles. Un louve d'un autre clan faisait partie des choses nouvelles alors elle ne voulait pas vraiment qu'elle s'en aille. En plus que papa et le chef des automnaux ils s'entendaient assez bien depuis qu'ils avaient tuĂ© le vilain monstre qui Ă©tait cachĂ© dans le Moi j'aimerai bien que tu restes avait prononcĂ© ces mots avec toute son innocence enfantine. Elle avait tellement envie d'en apprendre plus sur les autres clans. C'Ă©tait important pour elle de tout connaĂźtre d'eux. Parce qu'elle devrait peut-ĂȘtre leur parler quand elle serait plus grande. Autant faire en sorte de dĂ©couvrir comme ils Ă©taient avant mĂȘme d'ĂȘtre Tu t'appelles comment ? Et c'est comment dans ton territoire ? InvitĂ©InvitĂ©Sam 21 Jan 2012 - 1845Pendant quelques secondes qui pourraient m'ĂȘtre fatales si un hivernal passait par lĂ , la petite louve sembla peser le pour et le contre. Elle devait se demander si elle pouvait m'accorder sa confiance. Moi-mĂȘme, je n'en Ă©tais pas sĂ»re, hĂ©las. La loupiotte dit, tellement innocente qu'on lui aurait donnĂ© le bon Dieu sans confession- Moi j'aimerai bien que tu restes souris intĂ©rieurement, elle me rappelait moi, au mĂȘme Ăąge. J'Ă©tais innocente, et ne prenait pas conscience des rivalitĂ©s, difficultĂ©s de la vie. Pourtant, j'avais appris, peut-ĂȘtre trop tĂŽt, que la vie n'Ă©tait pas un long fleuve tranquille. J'espĂ©rais que cette adorable petite resterait Ă  l'Ă©cart de tout cela, du moins jusqu'Ă  ce qu'elle soit en Ăąge de comprendre du moins. La petite louve demanda- Tu t'appelles comment ? Et c'est comment dans ton territoire ?Je souris, m'asseyais, puis rĂ©pondais, rĂ©signĂ©e - Je ne suis pas sĂ»re de pouvoir rĂ©pondre Ă  ta premiĂšre question, cela risquerait de me mettre en sĂ»re qu'elle serait déçue, alors j'ajoutais- Mais je peux te parler du Territoire Automnal. Il est grand, magnifique. Autant qu'ici. MĂȘme si Ă  mes yeux, c'est plus beau chez moi. LĂ -bas, tout est marron, orange, jaune, rouge. Il y a l'odeur de la brume, de l'humus, de la terre retournĂ©e, des feuilles mortes et mouillĂ©s. C'est trĂšs souris, revoyant dans ma tĂȘte chaque parcelle du Territoire Automnale. Finalement, je n'irais peut-ĂȘtre pas en territoire neutre, peut-ĂȘtre que je rentrerais directement tout compte fait. InvitĂ©InvitĂ©Dim 22 Jan 2012 - 1909La louve automnale refusa de dĂ©cliner son identitĂ©. Meneldil fit une moue boudeuse. Elle n'aimait pas qu'on ne rĂ©ponde pas Ă  ses questions. Maman l'avait habituĂ©e Ă  toujours lui rĂ©pondre. Elle ne comprenait pas qu'on puisse lui cacher des choses. Elle ne l'acceptait pas. Elle pensait qu'elle ne voulait pas le lui dire juste parce qu'elle Ă©tait petite. Parce que les adultes ils cachaient souvent des choses aux petits. Mais pas maman. Et puis, en plus, la grande louve elle devait pas pouvoir craindre grand chose d'elle. Elle Ă©tait juste une toute petite louve de rien du tout elle Ă©tait pas ce qu'on pourrait appeler une menace. Surtout que les tueurs Ă©taient des loups trĂšs forts."- Mais je peux te parler du Territoire Automnal."Ah ces mots les oreilles de la jeune louve se dressĂšrent et elle cessa de bouder. Chouette ! La louve allait quand mĂȘme rĂ©pondre Ă  une de ses questions. Et c'Ă©tait quand mĂȘme celle qui l'intĂ©ressait le plus il fallait bien l'avouer. Le nom de la louve Ă©tait pas trĂšs important mais savoir Ă  quoi ressemblait les autres territoires Ă©tait une question qu'elle se posait souvent. Les grands lui avaient dit que tous Ă©taient trĂšs diffĂ©rents du territoire estival. Et que le territoire neutre Ă©tait le plus Ă©trange parce que les saisons se dĂ©roulaient normalement. Ce n'Ă©tait pas tout le temps la mĂȘme qui rĂ©gnait. Meneldil comprenait bien que les saisons se devaient de se laisser place l'une aprĂšs l'autre mais elle avait tout de mĂȘme pris l'habitude de ne vivre que dans un hiver Ă©ternel. C'Ă©tait quelque chose qu'elle jugeait naturel."- Il est grand, magnifique. Autant qu'ici. MĂȘme si Ă  mes yeux, c'est plus beau chez moi. LĂ -bas, tout est marron, orange, jaune, rouge. Il y a l'odeur de la brume, de l'humus, de la terre retournĂ©e, des feuilles mortes et mouillĂ©s. C'est trĂšs beau."La petite louve avait un peu du mal Ă  apprĂ©hender cette dimension des choses. Pour elle les arbres n'avaient pas vraiment de feuilles et souvent la vĂ©gĂ©tation de son territoire Ă©tait juste rase pour lutter au mieux contre le froid. Alors imaginer ces petites plantes rabougries rouge, jaune et orange Ă©tait trĂšs Ă©trange. Et puis, elle ne savait pas ce que pouvait sentir l'humus. Ici la terre Ă©tait tout le temps gelĂ©e et ne dĂ©livrait donc pas beaucoup d'odeurs. La petite louvĂ© rĂ©pondit en toute C'est normal que t'aimes mieux ton chez toi que ton chez moi. Sinon ça serait pas ton chez parlait avec son langage encore un peu enfantin malgrĂ© son adolescence. Elle avait encore un peu de mal Ă  faire de jolie phrases bien construites. Mais elle savait qu'un jour elle y arriverait. Elle ne se faisait pas trop de soucis pour ça. Elle y arrivait bien quand elle faisait attention. Le problĂšme Ă©tant qu'elle ne faisait pas toujours J'irai visiter les autres territoires quand je serai grande. Mais que quand je serai grande parce que Maman elle a dit que c'Ă©tait dangereux. InvitĂ©InvitĂ©Dim 22 Jan 2012 - 2031Je me rendis comte qu'elle devait avoir un peu de mal Ă  visualiser cela, vivant sur un Territoire de glace, de neige et de verglas tout le temps. La petite rĂ©torqua- C'est normal que t'aimes mieux ton chez toi que ton chez moi. Sinon ça serait pas ton chez rĂ©primais un pouffement de rire, ce n'Ă©tait pas appropriĂ©, mĂȘme si sa phrase bizarrement faite me donnait envie de rire, de me dĂ©tendre et de relĂącher la pression. AprĂšs tout, ce bout de choux Ă©tait tout petit, et ne faisait pas de grande et belles phrases, qui soit dit en passant ne sont pas tout le temps facile Ă  comprendre quand elle sont longues, tournĂ©es, enjolivĂ©s. Les adultes tournent autour du pot, tandis que les plus jeunes disent ce qu'ils pensent sans se cacher. Je m'imaginais ce que serait le quotidien si chacun parlait comme la petite en face de moi. Ce serait amusant, et il n'y aurait peut-ĂȘtre pas autant de malentendus. Elle me dit- J'irai visiter les autres territoires quand je serai grande. Mais que quand je serai grande parce que Maman elle a dit que c'Ă©tait Bien sĂ»r que s'introduire sur d'autres territoires serait dangereux pour la fille d'Alphas, que celle-ci soit adulte ou pas. De toute Ă©vidence, la petite idĂŽlatrait sa chĂšre maman la prenait pour exemple. Que j'aurais aimĂ© pouvoir en faire de mĂȘme avec ma propre mĂšre! Mais il ne fallait pas ressasser ainsi le passĂ©, il fallait tourner la page. Je secouais la tĂȘte, puis dit- Ta maman a raison, ce serait dangereux. Moi-mĂȘme en restant ici, je me mets en danger. Tu n'en a peut-ĂȘtre pas conscience, mais bien qu'en ce moment les Clans se rapprochent Ă  cause des difficultĂ©s rencontrĂ©es ces derniers temps, je suis une intruse ici, une ennemie. On pourrait me tuer si on me trouvait me rendis compte trop tard que j'avais Ă©tĂ© un peu brutale. J'ajoutais alors, pour adoucir mes prĂ©cĂ©dentes paroles, et passer Ă  un autre sujet- Excuse-moi, j'ai Ă©tĂ© un brusque. Alors comme ça, tu aimerais dĂ©couvrir les autres territoires? ça te plairait?Si oui, je pourrais lui parler des autres territoires, de ce que j'avais vu pendant mes longues balades sur Four Seasons. Je trouvais que parler avec cette petite Ă©tait plus simple que la plus grande partie des conversation que j'avais avec d'autres loups. J'apprĂ©ciais sa simplicitĂ© et son innocence. InvitĂ©InvitĂ©Ven 27 Jan 2012 - 2129"- Ta maman a raison, ce serait dangereux."Pfff, elle Ă©tait bĂȘte ou quoi ? Bien sĂ»r que maman avait raison. Elle avait toujours raison. Enfin, ça c'Ă©tait l'avis de Meneldil, des fois d'autres loups Ă©taient pas d'accords avec elle mais elle avait quand mĂȘme le dernier mot. Parce que maman Herenya elle Ă©tait Alpha et que les autres devaient lui obĂ©ir et lui montrer du respect."- Moi-mĂȘme en restant ici, je me mets en danger. Tu n'en a peut-ĂȘtre pas conscience, mais bien qu'en ce moment les Clans se rapprochent Ă  cause des difficultĂ©s rencontrĂ©es ces derniers temps, je suis une intruse ici, une ennemie. On pourrait me tuer si on me trouvait ici."La petite louve ouvrit de grands yeux choquĂ©s devant ce que lui disait l'automnale. Pourquoi est-ce que quelqu'un voudrait la tuer ? Elle Ă©tait gentille mĂȘme si elle voulait pas lui dire son nom et qu'elle Ă©tait pas de son clan. Et puis, ça se faisait pas de tuer des loups comme ça. Si ? Est-ce que c'Ă©tait ce que faisait maman quand elle partait sans elle ? Meneldil sentait toutes ses certitudes commencer Ă  vaciller. L'automnale avait pas le droit de penser que les hivernaux Ă©taient des pas gentils comme ça ! On ne tuerait pas quelqu'un comme ça. On lui demanderait d'abord de partir plus ou moins gentiment. Enfin, c'Ă©tait ce que les autres loups adultes lui avaient appris. Et elle croyait les loups de son clan. Parce qu'elle Ă©tait certaine qu'ils ne lui mentiraient pas."- Excuse-moi, j'ai Ă©tĂ© un brusque. Alors comme ça, tu aimerais dĂ©couvrir les autres territoires? ça te plairait?"La petite hivernale voyait bien que l'automnale voulait juste changer de sujet mais elle ne dit rien. Maman avait dit que des fois il fallait laisser passer certaines choses pour pouvoir s'en sortir. Et la petite Meneldil pensait que c'Ă©tait un de ces moments. Elle ne rĂ©pondit donc pas et se contenta de hocher frĂ©nĂ©tiquement la tĂȘte de haut en bas. Sa joie de vivre reprenant le dessus sur sa Oui ! J'aime la neige et la glace de chez moi mais il parait que ailleurs c'est joli aussi. Et moi je veux savoir. Tout c'Ă©tait vrai. Elle voulait vraiment tout apprendre sur Four Seasons. Des territoires comme des loups qui y habitaient. Elle savait que tous les clans Ă©taient sujets Ă  des diffĂ©rents mais elle savait aussi que certains loups voulaient bien discuter avec ceux des autres clans pour en apprendre plus eux aussi. La petite avait vraiment hĂąte de Je sais pas quel territoire j'irai voir en premier. Celui des estivaux. Parce que c'est le plus diffĂ©rent de voix rĂ©sonnait de son excitation mal contenue. Elle voulait vraiment grandir vite pour pouvoir aller voir ces autres terres qui lui Ă©taient pour l'instant interdites parce qu'elle Ă©tait petite. InvitĂ©InvitĂ©Sam 28 Jan 2012 - 1600La petite louve hocha la tĂȘte avec vigueur et enthousiasme, avant de me rĂ©pondre, toute excitĂ©e.- Oui ! J'aime la neige et la glace de chez moi mais il parait que ailleurs c'est joli aussi. Et moi je veux savoir. Tout avait hĂąte d'apprendre, cela se voyait. Je souris, amusĂ©e. Et me remĂ©morais ce que j'avais dĂ©jĂ  vu des autres territoires, ma joie, mon bonheur, et mon incrĂ©dulitĂ© sur certaines merveilles existantes sur Four Seasons. Si Kenjio ne m'avait confiĂ©e au clan de l'Automne, je serais sans doute restĂ©e solitaire, pour pouvoir errer en paix sur tous les territoires et admirer toutes les beautĂ©s que contenait ce merveilleux loupiotte ajouta- Je sais pas quel territoire j'irai voir en premier. Celui des estivaux. Parce que c'est le plus diffĂ©rent de perspective semblait l'exciter au plus haut point. Et je le comprenais parfaitement. Ce territoire Ă©tait vraiment souris Ă  nouveau, puis dit- Tu devrais en parler avec tes parents et les autres hivernaux. La plupart d'entre eux sont sans doute dĂ©jĂ  allĂ©s sur les autres Territoires, et ils ne rechigneront pas Ă  t'en parler. Oui, Ă  sa place c'est exactement ce que j'aurais fait. Surtout que si l'on s'adresse aux bonnes personnes, on peut avoir des rĂ©cits dĂ©taillĂ©s de certaines intrusions sur les autres Territoires. Je rajoutais- C'est bien sĂ»r avec les plus ĂągĂ©s et donc les plus expĂ©rimentĂ©s que tu en sauras le plus. Certains auront pleins d'histoires intĂ©ressantes Ă  te raconter. Personnellement j'ai dĂ©jĂ  vu beaucoup de Four Seasons, et je peux te dire que chaque lieu est diffĂ©rent l'un de l'autre. C'est une dĂ©couverte Ă  chaque promenade, tu peux me pensais aux champs de fleurs au Territoire du Printemps, sur lequel je ne m'Ă©tais jamais vraiment attardĂ©, craignant un peu de me retrouver en face de leur Alpha Moune. Il y avait aussi la chaleur, le soleil, les fruits tropicaux que l'on trouvait sur le Territoire de l'ÉtĂ©. Ce territoire m'avait toujours attirĂ©e, presque autant que l'Automne. Les couleurs vives, les senteurs toutes plus Ă©tranges les unes que les autres... J'aimais beaucoup cela. Par ce sentiment j'Ă©tais diffĂ©rente des la plus grande partie des Automnaux, qui ne supportent pas les chauds rayons du soleil, le parfum de l'Ă©tĂ©, ainsi que les estivaux eux-mĂȘmes. Bien que je sache qu'Ypso avait fait la rencontre de la BĂȘta estival et qu'il s'Ă©tait fait attraper par l'Alpha et mit dehors, je ne pouvais m'empĂȘcher d'apprĂ©cier tout ce que les estivaux avaient Ă  offrir chez eux. InvitĂ©InvitĂ©Dim 5 FĂ©v 2012 - 2043Meneldil se plaisait Ă  rĂȘver Ă  ce que lui rĂ©vĂ©lait la louve automnale. C'est vrai qu'elle pouvait demander aux autres ... Mais bon, c'Ă©tait pas pareil de voir et d'entendre raconter. C'Ă©tait mĂȘme trĂšs trĂšs diffĂ©rent aux yeux de la petite louve. Elle, elle voulait voir de ses propres yeux. Voir sans avoir l'avis de ceux qui avaient vu. Parce que les loups ne pourraient pas s'empĂȘcher de rajouter leur petit grain de sel en racontant. Ce n'Ă©tait pas possible. Ils lui diront ce qu'ils avaient aimĂ©, pas aimĂ©, ce qui les avait choquĂ©, tout ça quoi. Et ce ne serait pas forcĂ©ment son avis. Elle savait qu'elle n'Ă©tait pas tout Ă  fait comme les autres hivernaux. Parce que son pouvoir c'Ă©tait pas celui du froid et de la neige ... Son pouvoir il allait avec les plantes. C'Ă©tait un pouvoir de printanier ça. Pas un pouvoir d'hivernal. Maman et papa ils avaient peur qu'elle parte chez les printaniers. Elle les avait entendus en parler une fois. C'Ă©tait un soir et elle n'aurait sĂ»rement pas du ĂȘtre au courant de tout ça mais bon. elle avait entendu quand mĂȘme. Et c'Ă©tait pour ça qu'elle faisait tout pour ĂȘtre la meilleure et qu'elle Ă©coutait toujours bien maman. Parce qu'elle ne voulait pas la Oui mais mĂȘme. Voir et se faire raconter c'est pas pareil du tout. Moi je veux voir avec mes yeux Ă  moi. Je veux dĂ©couvrir et me faire mon avis sur les autres territoires. Parce que toi tu diras peut-ĂȘtre qu'un endroit c'est beau alors que ce sera moche pour quelqu'un d'autre. Ca dĂ©pendra trop de l'avis de celui qui raconte. Moi je veux avoir ma propre venait de dĂ©biter cette longue tirade presque sans reprendre son souffle. Elle parlait rarement autant parce qu'elle n'Ă©tait jamais trĂšs sĂ»re d'utiliser les bons mots. Elle savait qu'elle parlait encore comme une enfant. Maman lui avait dĂ©jĂ  dit de rĂ©flĂ©chir avant de parler. Pour que ses paroles fassent plus comme celles des grandes personnes. Mais la petite louve partait du principe qu'elle avait bien le temps d'apprendre Ă  faire attention Ă  comment elle parlait. Elle Ă©tait mĂȘme pas encore une adulte alors ça viendrait bien tout seul. Comme pour les autres InvitĂ©InvitĂ©Sam 10 Mar 2012 - 1104Cette petite m'intriguait beaucoup. Elle Ă©tait trĂšs curieuse, une qualitĂ© autant qu'un dĂ©faut, selon l'utilisation que l'on en fait. Je lui souris, elle semblait pensive. Elle finit par dire- Oui mais mĂȘme. Voir et se faire raconter c'est pas pareil du tout. Moi je veux voir avec mes yeux Ă  moi. Je veux dĂ©couvrir et me faire mon avis sur les autres territoires. Parce que toi tu diras peut-ĂȘtre qu'un endroit c'est beau alors que ce sera moche pour quelqu'un d'autre. Ca dĂ©pendra trop de l'avis de celui qui raconte. Moi je veux avoir ma propre parlait bien, je trouvais que ces paroles ressemblait mĂȘme plus Ă  celle d'un loup trĂšs mĂąture et expĂ©rimentĂ©, sachant bien de quoi elle parlait. De toutes Ă©vidences, cette loupiotte n'Ă©tait pas du genre Ă  se laisser influencer, bien dĂ©cidĂ©e Ă  se faire sa propre opinion quoi qu'il en soit. Elle ferait une parfaite Alpha, j'en Ă©tais persuadĂ©e. Je murmurais, pensive- Certains ont bien de la secouais la tĂȘte, puis reprit, Ă  haute voix cette fois- Tu as bien raison. Chacun Ă  ses propres gouts et son propre avis. Tes parents doivent ĂȘtre fiers de toi. À leur place en tout cas moi je le souris de plus belle, puis lui demandais- Au fait, comment t'appelles-tu?Je n'Ă©tais pas Ă»re qu'elle me rĂ©ponde, moi-mĂȘme ayant refusĂ©e de lui rĂ©pondre lorsqu'elle me l'avait demandĂ©. InvitĂ©InvitĂ©Mer 14 Mar 2012 - 2129- Certains ont bien de la louve avait parlĂ© tout bas. Tellement bas qu'elle avait manquĂ© ne pas l'entendre. Elle ne comprit pas alors elle ne dit rien. Des fois il fallait savoir se taire. C'Ă©tait maman qui lui avait appris ça. Elle avait beaucoup insistĂ© dessus. Elle avait dit que des fois il fallait juste Ă©couter et retenir mais pas parler. Alors Meneldil ne dit rien et attendit que la louve automnale continue de parler, ce qu'elle ne tarda pas Ă  Tu as bien raison. Chacun Ă  ses propres gouts et son propre avis. Tes parents doivent ĂȘtre fiers de toi. À leur place en tout cas moi je le jeune hivernale bomba le torse fiĂšrement. Elle savait pas si maman et papa Ă©taient vraiment fiers d'elle. C'Ă©taient des choses qu'ils ne disaient pas trop. En plus qu'elle leur avait pas encore parlĂ© de son pouvoir alors ils avaient pas encore de bonnes raisons d'ĂȘtre trĂšs fiers. Mais ils le seraient. Ils le seraient se promis une fois encore la jeune louve. La Tueuse lui faisait un grand sourire plein de crocs mais qui faisaient pas peur. C'Ă©tait un sourire tout gentil. Meneldil le lui rendit sa queue battant pour appuyer encore d'avantage sa joie d'avoir rencontrĂ© une nouvelle Au fait, comment t'appelles-tu?La louve aux dominantes noires et blanches plissa les yeux un court instant Ă©tait-ce un piĂšge ? Elle ne pensait pas. La Tueuse avait eu l'air gentille jusque lĂ , elle ne voyait pas elle chercherait maintenant Ă  la piĂ©ger. Ce ne serait pas logique selon elle. Mais, en mĂȘme temps, elle ne comprenait pas toujours les adultes. Mes adultes Ă©taient compliquĂ©s. Et les petites louves non alors elle se contenta de Moi c'est Meneldil. Mais maintenant c'est ton tour ! Donnant donnant comme ils disent certains louve avait fait la moue avant de faire un gigantesque sourire Ă  la grande louve. Elle espĂ©rait bien avoir Ă©tĂ© assez convaincante. En plus qu'elle allait bien devoir rentrer un jour. Maman allait se demander oĂč elle Ă©tait passĂ©e sinon. Parce qu'elle sortait pas souvent comme ça et qu'elle Ă©tait pas trĂšs forte. Alors maman allait sĂ»rement se faire du soucis. Mais Meneldil Ă©tait bien trop contente de sa rencontre pour accepter de rentrer comme ça sans connaĂźtre le nom de la gentille En plus que c'est grĂące Ă  toi que j'ai pu voir qu'il y avait pas de monstre dans le truc bizarre. En fait, tu m'as un peu sauvĂ©e alors je veux connaĂźtre le nom de ma sauveuse ! Contenu sponsorisĂ©
jene comprends pas ma maman!!!! Anonymous1579542, le 26/04/2012. bonjour à tous! je suis issue d'une famille de 3 enfants! depuis plusieurs années notre
Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Rues de Londres Les DocksPage 1 sur 1Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Malicia EvansPersonnel de Poudlard Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Malicia Evans, le Lun 13 Avr - 034 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Insultes/VulgaritĂ©, Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeRP avec Angelina FrewliadSaison 31 - PrintempsLA accordĂ©J't'accorde mon LA tout le long du RPJe suis enfin seule. Je peux enfin me laisser aller. Je n’ai plus Ă  faire semblant. C’est grisant. Je m’assoie au bord des docks, les pieds qui pendent dans le vide. Je ne fais pas attention aux autres autour de moi. De toute façon, est-ce que j’ai dĂ©jĂ  fais attention une fois dans ma vie ? Je n’en suis vraiment pas sĂ»re. Je regarde au loin comme si ça allait me donner la rĂ©ponse. Et la rĂ©ponse Ă  quoi ? Aucune idĂ©e. Je crois que je suis paumĂ©e. Mais encore plus qu’auparavant. Je ne sais pas ce qui me pĂšse sur le coeur mais je sens que je suis bouffĂ©e par quelque chose d’inconnu ou mĂȘme quelque chose de tellement connu que je prĂ©fĂšre nier. Le dĂ©ni, c’est une belle chose, non ? Je crois que j’en suis devenue la spĂ©cialiste au dĂ©but de ma vie adulte. - ArrĂȘte de te prendre la tĂȘte, t’as une belle vie maintenant. Tu dois t’occuper de ton fils, ton compagnon est lĂ  et te soutiens. » Et alors ? Est-ce que c’était suffisant pour continuer Ă  me donner le sourire ? Bah visiblement non. Toujours Ă  faire semblant. J’en ai marre. M*rde. Pourquoi il faudrait que je fasse un effort ? Oui, oui je sais. Pour le petit. Il est nĂ©, j’ai plus le choix. » Je peux plus continuer Ă  me dĂ©truire constamment. C’est pas une vie. Ni pour moi. Ni pour lui. Et puis, Damian il est lĂ . Il essaie tant bien que mal de me soutenir et de m’éloigner de mes dĂ©mons. Je ne peux pas lui faire subir ça constamment. Je jure que j’ai fais des efforts. Mais parfois c’est compliquĂ© de se retenir. Le passĂ© qui revient soudainement, qui me tire vers le fond. J’ai l’impression que c’est sans fin. Non mais je suis en train de devenir tarĂ©e. Je commence mĂȘme Ă  parler toute seule. Allez, t’es une adulte maintenant. T’es mĂȘme une maman. Allez Malicia, on se reprend. » Je me redresse, tente tant bien que mal de remettre de l’ordre dans mes idĂ©es. Mais bordel. J’ai l’impression que je lutte contre moi-mĂȘme. Je soupire, rĂ©cupĂšre un de mes produits prĂ©fĂ©rĂ©s et l’avale sans plus de cĂ©rĂ©monie. Oh et puis m*rde. On luttera plus tard. » Je me laisse aller. Ca reste quelque chose d’innocent. Je ne suis plus au mĂȘme stade qu’avant, ce n’est plus aussi grave. Si ? Oh et puis, je m’en fous. J’ai envie de penser Ă  moi pour l’instant. Ca serait pas si mal. Je crois. Enfin, je sais pas. Je ne suis sĂ»re de rien. Oui, je suis dĂ©finitivement plus paumĂ©e qu’avant. Foutus souvenirs qui refusent de me laisser en paix. Des pas me sortent de mes pensĂ©es. MĂȘme si les rues alentours sont pleines, il n’y a personne qui passent vers moi. Je relĂšve la tĂȘte vers l’origine des pas, baissant mes lunettes de soleil Oui ? », je garde un sourire de façade, espĂ©rant secrĂštement qu’on ne vienne pas me dĂ©gager des docks. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Angelina Frewliad, le Lun 13 Avr - 2238 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeSaison 31Printempsavec MaliciaLA accordĂ© pour tous le RP Une lettre n'annonce pas toujours de bonnes nouvelles. T'avais reçu un courrier de ta sƓur cadette, Maman allait pas trĂšs bien, Maman va rarement bien depuis le drame. Alors d'habitude t'avais le dessin pour dĂ©charger, les sorties pour vagabonder et t'occuper mais lĂ  c'Ă©tait un peu trop pour toi. Pourquoi lĂ  t'avais pas rĂ©ussi Ă  gĂ©rer tu savais pas bien, peut-ĂȘtre parce que pour la premiĂšre fois depuis longtemps tu sentais que ta sƓur avait besoin de toi, vraiment, mais est ce que t'Ă©tais encore capable d'assumer Ă  ce point ? Une heure, deux peut-ĂȘtre que t'avais cette fichue lettre dans les mains sans savoir quoi faire, tu voulais pas fuir mais t'avais besoin d'y rĂ©flĂ©chir, retourner dans le manoir familial, revoir cette fenĂȘtre, revoir ce jardin, tu savais pas si tu pouvais. T'avais toujours tout affrontĂ© Ă  ce sujet, les regards, les commĂ©rages mais tu devais rester forte, Maman avait besoin de toi, Abril avait besoin de une bouteille t'avais tapĂ© dans l’Ɠil, vieille amie de galĂšre. Alors c'Ă©tait tout vu, aujourd'hui tu retombais dans tes travers, tu te laissais aller, juste une journĂ©e ça pouvait pas te tuer si ? Ta bouteille, un verre et le tour Ă©tait jouĂ©, t'avais oubliĂ© pourquoi tu buvais, du moins tu te persuadais que t'avais oubliĂ©. T'avais fermĂ© les yeux, chose Ă  ne pas faire quand t'as de l'alcool dans le sang en cette quantitĂ©. Une main qui pousse, puis des cris, et c'Ă©tait reparti, les images surgissaient, tu voulais pas les voir, tu voulais pas. Alors vite, les comprimĂ©s, bien cachĂ©s au fond de ton armoire. Tu les avais regardĂ© longuement avant des les prendre, tu t'Ă©tais dĂ©tachĂ©e de ça, il y a bien longtemps. Mais lĂ  c'Ă©tait l'urgence, alors un nouveau verre pour avaler la pilule au sens propre comme littĂ©ral. Et maintenant c'Ă©tait sacrĂ©ment bruyant dans ton appartement, tout semblait raisonner, tu commençais Ă  voir un peu trouble mĂȘme. Tu savais que ça te tuerait pas ton mĂ©lange, tu l'avais fait dans le passĂ©, une seule solution aller prendre l'air. Les docks, parfait pour respirer. Alors t'avais marchĂ©, combien de temps tu savais pas vraiment. Puis t'Ă©tais restĂ©e un peu en retrait mais t'avais entendu une femme, qui semblait ĂȘtre de ton Ăąge ou pas loin, parler, seule. T'aurais aimĂ© faire ça aussi, mais t'arrivais pas, alors juste t'avais Ă©coutĂ©, c'Ă©tait indiscret oui, mais t'avais ce sentiment que vous Ă©tiez un peu pareille perdue sur le fil du temps. Elle t'avait interpellĂ© la femme parce que t'avais rien trouvĂ© de mieux que de marcher dans sa direction, sans chanceler Ă©tonnamment, mĂȘme si tes yeux renvoyait bien les abus de ta journĂ©e. Elle souriait, pourtant t'avais bien entendu, bien compris que c'Ă©tait pas la joie alors vous savez, on a tous le droit de lĂącher les chevaux, personne est parfait enfin je crois, puis vous avez l'air de l'aimer votre fils, faut pas vous en faire comme ça. Sans invitation tu t'Ă©tais assise Ă  cĂŽtĂ© d'elle, aprĂšs tout, vous aviez l'air dans le mĂȘme Ă©tat psychologique, c'Ă©tait peut-ĂȘtre pas plus mal de rester ensemble ne serait-ce qu'un moment, dans le pire des cas elle te dirait de dĂ©gager. Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Malicia Evans, le Mar 14 Avr - 209 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances licitesAfficher quand mĂȘmeJe regarde la femme, un lĂ©ger sourire aux lĂšvres. Elle a les mots qu’il faut mais qui sonne aussi tellement faux. Elle ne me connait pas, elle ne sait pas Ă  quel point je peux vriller, tout abandonner sans le moindre remord. Mais je ne peux pas lui en tenir rigueur, elle s’est juste rajoutĂ©e Ă  la conversation. D’ailleurs quelle conversation ? Ce n’est juste qu’un face Ă  face avec moi-mĂȘme. Je suis loin d’ĂȘtre parfaite, je le sais et justement je le regrette. J’aimerais ĂȘtre une mĂšre parfaite pour donner une vie fabuleuse Ă  mon fils. Et plus ça va, plus j’ai peur de ne jamais y arriver. Et quand j’ai peur, ça me bouffe. Je me sens tourbillonner au coeur de ces Ă©motions nĂ©gatives. Et il n’y a rien qui arrive les calmer. Sauf mes travers. Je lutte contre ces dĂ©mons depuis des annĂ©es et il me suffit d’un peu de mal-ĂȘtre et je replonge directement. C’est n’importe quoi. Oui, je l’aime. Mais une famille ça peut tellement se dĂ©truire si facilement. J’ai peur d’en ĂȘtre la cause. » Ou j’en suis dĂ©jĂ  la cause et je refuse de l’assumer. C’est compliquĂ©. J'ai tenu pour le petit, j'ai luttĂ© encore et encore pour au final, retomber dans mes travers aussi vite qu'Ă  l'Ă©poque. MĂȘme si j'aime mon fils plus que tout au monde, je ne suis absolument pas capable de l'assumer. Nous avons fait une belle erreur. J'aime Enzo mais je me rends compte qu'il n'aura jamais la vie qu'il mĂ©rite. Je ne pourrais pas lui donner. M*rde. Quelle mĂšre je fais. Je la regarde s’asseoir Ă  mes cĂŽtĂ©s. Je remarque ses yeux vitreux et je comprends qu’elle est dans le mĂȘme Ă©tat que moi. Dure journĂ©e ? » Pourquoi est-ce que je pose la question, ça me semble Ă©vident. On ne va pas bien aujourd’hui, il faut pas ĂȘtre devin pour le remarquer. Ma poche me dĂ©mange. J’ai encore envie d’abuser. J’ai l’impression de ne jamais en avoir assez. C’est quand mĂȘme fou. Alors c’est ça, la toxicomanie ? Ne jamais ĂȘtre rassasiĂ©e. Ne jamais vouloir arrĂȘter. MĂȘme quand on sait que tout ça nous dĂ©truit ? Quel bordel cette histoire. Je me trouve n’importe quelle excuse pour pouvoir me niqu*r les neurones. Tu crois qu’un jour
 ouais je te tutoie, ça te dĂ©range pas ? On est dans la mĂȘme galĂšre aprĂšs tout
 Enfin j’disais tu crois qu’un jour on pourra lĂącher tout ce qui pĂšse sans passer notre temps Ă  nous blesser ? » J’aimerais y arriver. Pouvoir lĂącher ce que je ressens, ce que je pense sans m’effondrer dans la minute qui suit. Pourquoi est-ce que j’ai l’impression de ne pas en ĂȘtre capable ? Le passĂ© est si compliquĂ© Ă  assumer ? Pourquoi est-ce que je suis la seule de mon entourage Ă  galĂ©rer Ă  ce point ? Les autres le cachent peut ĂȘtre mieux ? Aucune idĂ©e. DiscrĂštement, je rĂ©cupĂšre une bouteille de mon liquide ambrĂ© prĂ©fĂ©rĂ© et sans rĂ©flĂ©chir, j’en bois quelques gorgĂ©es avant d’en proposer Ă  la jeune femme Ă  mes cĂŽtĂ©s. Je pensais pas vouloir d'une compagnie mais finalement sa prĂ©sence me fait un peu de bien. Ca faisait longtemps que je n'avais pas rencontrĂ© quelqu'un qui pouvait comprendre, qui pouvait juste ĂȘtre lĂ  sans me donner des conseils bidons et sans intĂ©rĂȘts. Quelqu'un dans la mĂȘme dĂ©tresse Ă©motionnelle que la mienne. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Angelina Frewliad, le Mer 15 Avr - 1831 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances licitesAfficher quand mĂȘme Un regard et un sourire qui ne trompe pas, elle Ă©tait triste cette femme, encore une Ăąme brisĂ©e par son passĂ© sĂ»rement, aprĂšs tout, t'Ă©tais comme elle, ou elle Ă©tait comme toi, fusion de deux ĂȘtres qui se sentent incompris. Tu la regardais depuis un moment, depuis qu'elle s'Ă©tait mise Ă  parler, seule apparemment parce qu'il y avait personne qui s'arrĂȘtait sur elle, sur toi, sur elle avait rĂ©pondu, au moins elle ne t'avait pas virĂ© c'Ă©tait une chose de prise, parce que lĂ  t'avais pas envie de retourner Ă  ta solitude, ça pĂšse d'ĂȘtre seule parfois. Pourtant sa rĂ©ponse te faisait frĂ©mir, la famille c'est si fragile oui. La tienne elle avait valsĂ© en Ă©clat il y a bien longtemps alors t'en savais quelque chose. Au final tu t'en Ă©tais pas si mal sortie, fallait juste bien regarder ce que ça aurait pu donner. C'Ă©tait pas aux autres de faire tout le boulot aprĂšs tout, c'Ă©tait ta responsabilitĂ© aussi de devenir ce que tu voulais, c'Ă©tait ta vie aprĂšs tout. Alors pendant qu'elle t'observait l'inconnue t'avais qu'une idĂ©e en tĂȘte, la rassurer, lui dire que tout allait bien, que rien n'Ă©tait grave, mais pas avec des mots futiles qui sont lĂ  pour faire jolis, plutĂŽt en questionnant parce que vous pensez qu'un homicide et un suicide c'est une destruction ou une renaissance pour se libĂ©rer d'un truc ? Enfin j'crois que j'ai jamais tenu pour responsable ma famille, l'amour ça vaut tout. Vous lui donnez de l'amour, ça a l'air, puis au pire regardez j'en ai pas beaucoup eu et je suis pas en trop en mauvais Ă©tat, bon sauf aujourd'hui...Comme elle l'avait soulignĂ© aprĂšs, la journĂ©e avait Ă©tĂ© dure oui. Une comprĂ©hension, elle t'a regardĂ© en disant ces mots et t'as sentie qu'elle savait dĂ©jĂ , qu'elle Ă©tait comme toi, perdue, entre abus et raison. C'est pas simple comme situation, tu savais pas quel hĂ©misphĂšre de ton cerveau Ă©triquĂ© fallait que tu Ă©coutes. Elle devait ĂȘtre pareil vu les questions qu'elle se posait. Le tutoiement Ă©tait de mise quand on se retrouve dans cette galĂšre qu'est la vie sans se connaĂźtre mais en partageant tant de choses en mĂȘme temps. Ces mots raisonnent en toi, est ce qu'il est possible de tout envoyer valser derriĂšre soit, se dĂ©charger ? A vrai dire t'Ă©tais dans le mĂȘme questionnement, tu voulais pas replonger, tu voulais pas. Mais tes devoirs t'appelaient, comme pour te rappeler que t'avais vĂ©cu tout ça, que tu t'Ă©tais sentie responsable et que c'Ă©tait justifiĂ©. Ta vie c'Ă©tait parfois le bonheur, le reste du temps un rĂȘve chaotique et ininterrompu oĂč tout s'enchaĂźnant, sans ordres ni prioritĂ©s. Au final t'Ă©tais pas seule Ă  penser Ă  tout ça, c'est cool, c'est presque grisant de voir que quelqu'un te comprenais, sans forcĂ©ment tout Ă©taler, sans te dire que tout allait bien se passer. Puis elle t'avait offert le partage autour de sa bouteille, comme si boire ce truc ça allait diviser la peine en deux, que vous alliez communier presque. Alors t'avais avalĂ© une grande gorgĂ©e, ça pique mais ça fait sentir vivante, et au final j'pense qu'on peut se tutoyer oui, et je sais pas si un jour on pourra tout lĂącher, il y a toujours un truc qui te rappelle Ă  tout ça, faut juste trouver une sorte d'armure qui empĂȘche de sentir les blessures, mais ça je crois que ça existe pas encore. T'avais redonnĂ© sa bouteille Ă  la femme Ă  tes cĂŽtĂ©s, pas pour continuer Ă  s’enivrer pour s'amuser ou oublier mais pour sceller ce moment, moment oĂč t'espĂ©rais pas tout rĂ©soudre, juste partager parce que comment on fait quand on se sent responsable de la mort de deux personnes qu'on a aimait ? Quand on se dit qu'on aurait pas Ă©tĂ© sur cette Terre la vie de 4 personnes seraient meilleure ? Main dans la poche, t'avais sorti tes cachets, t'en avait repris un, fallait faire passer la Ă©dition par Angelina Frewliad le Jeu 16 Avr - 831, Ă©ditĂ© 2 fois Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Malicia Evans, le Jeu 16 Avr - 252 AvertissementCe RP mentionne du contenu sensible Substances illicitesAfficher quand mĂȘmeJe suis terrorisĂ©e. Je crois que j’ai peur d’aller mieux. En rĂ©alitĂ©, c’est quelque chose que je ne connais pas. Je connais l’autodestruction, je connais le mal-ĂȘtre, je connais la colĂšre. Mais la joie, l’amour je ne connais pas. Je la maĂźtrise en façade parce que j’ai dĂ» apprendre Ă  m’adapter mais rien de plus. Le passĂ© me rattrape toujours. Alors, parfois je dĂ©cide d’arrĂȘter de courir, parce que j’en ai marre de fuir. J’ai l’impression d’avoir passĂ© ma vie Ă  fuir quelque chose d’immatĂ©riel. Et plus ça va, plus je me rend compte que je suis loin d’ĂȘtre la seule. Il y a sĂ»rement des personnes qui le cachent mieux que d’autres, je n’en fais dĂ©finitivement pas partie. J’aimerais ne plus rien ressentir, j’aimerais que mon Ăąme soit enfin apaisĂ©e mais pour ça, je ne suis pas sĂ»re qu’arrĂȘter de ressentir les blessures soit judicieux. Un jour l’armure ne fonctionnera plus et on revivra tous ces souvenirs avec violence. Ces blessures seront toujours lĂ  et on repartira dans ce mĂȘme cercle vicieux. En fait, peut-ĂȘtre qu’une fois blessĂ© on ne peut plus aller mieux ? Nous ne sommes plus qu’un mensonge aux yeux des autres. Nous montrons un aspect de nous bien loin de la rĂ©alitĂ©. Parce qu’il le faut. Parce qu’on ne peut pas ĂȘtre triste et torturĂ© continuellement. On finit par s’isoler. Et une fois seul, elles, elles sont lĂ . Les substances. Quand tu n’as plus personnes, quand tu ne vois plus aucune issues, elles sont lĂ , elles font taire toute cette douleur pour un temps. Elles t’éloignent de cette solitude. Elles sont lĂ , elles. Mais elles finissent par devenir meurtriĂšres. Elles ne t’aident plus. Et de lĂ , on se sent coupable. Coupable d’avoir commencĂ©. Coupable d’avoir succombĂ©. Coupable d’ĂȘtre mal. Coupable de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur. Je rĂ©cupĂšre la bouteille pour la ranger dans mon sac, aussi rapidement que je l’avais culpabilitĂ© est destructrice. Elle se nourrit de nous et nous vide. C’est si compliquĂ© de s’en dĂ©barrasser. Je cueille tes mots en mĂȘme temps que ta dĂ©tresse. J’en ressens mĂȘme les Ă©motions. Je ne sais pas comment se dĂ©barrasser cde cette culpabilitĂ©, je ne sais mĂȘme pas vivre avec. Mais je crois fermement qu’elle est l’expression la plus sincĂšre de l’amour qu’on porte Ă  nos proches. Notre vie sera toujours faites de haut et de bas, il y aura toujours la vie et la mort. Et je pense qu’il faut se concentrer sur ce que vous avez vĂ©cu de positif », ne pas oublier la fin tragique mais se dire que leur temps Ă©tait Ă©coulĂ©, Ă  la maniĂšre d’un sablier. Nous sommes missionnĂ©s sur Terre dans un but particulier. OĂč leurs vies auraient pu ĂȘtre bien pire. Je pense que vivre au conditionnel est bien trop destructeur. » Je regarde les comprimĂ©s, l’oeil brillant, les doigts picotant. J’aimerais pouvoir me retenir mais je sens mes muscles se tendre d’apprĂ©hension. L’envie me prendre aux tripes, ça me brĂ»le jusque dans les veines. Alors je rĂ©cupĂšre ma cuillĂšre et la poudre moldu que je m’empresse d’amener Ă  ma narine. Je n’arrive mĂȘme plus Ă  dĂ©terminer si c’est seulement mon corps qui en a besoin ou seulement moi qui en ait envie. La seule chose dont on est vraiment responsable, c’est nous. » Mais un jour, nous irons mieux. Je veux y aujourd’hui, on se laisse verra aprĂšs. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Angelina Frewliad, le Lun 20 Avr - 1523 Se concentrer sur le positif, ça t'avait fait sourire, parce que l'une comme l'autre vous Ă©tiez trop paumĂ©es Ă  cet instant pour penser positif. C'est drĂŽle comme l'ĂȘtre humain sait ce qu'il devrait faire, mais comme il peut ĂȘtre tĂ©taniser devant ses douleurs et blessures. A vrai dire, t'avais pas vĂ©cu beaucoup de positif avec ton frĂšre, c'Ă©tait dispute sur dispute, comparaison de caractĂšre, d'intelligence, de tout. Il serait tout et toi te ne seras rien, voilĂ  ce que c'Ă©tait son avis. Puis il y avait eu un rapprochement, t'avais cru bien faire en entrant dans son monde, peut-ĂȘtre que secrĂštement t'aurais voulu le sauver. Au final, c'Ă©tait pas des gens qu'il frĂ©quentait qu'il aurait fallu le sauver, mais de lui pĂšre Ă©tait devenu fou en te voyant rentrer en te tenant l'Ă©paule, c'Ă©tait d'ailleurs un miracle que tu en ais gardĂ© qu'une cicatrice, imposante, mais t'avais ton bras. T'avais par contre perdu un frĂšre et un pĂšre. C'est sĂ»r que leurs vies auraient pu ĂȘtre bien pire, ton pĂšre avait rĂ©alisĂ© son rĂȘve d'idĂ©al fonder une famille et vivre de sa passion. Mais qu'est ce qu'il en restait de tout ça ? Des ruines. Ruines de souvenirs qui s’effondraient brique par brique Ă  mesure que Maman pourrissait dans ce manoir. Etre seulement responsable de soi mĂȘme, c'Ă©tait vrai. Mais t'Ă©tais responsable ce soir lĂ , de t'ĂȘtre laissĂ©e embarquer dans un plan galĂšre. T'avais trop bu, t'Ă©tais pas dans un Ă©tat qu'on qualifierait de prĂ©sentable, alors la bande de ton frĂšre te paraissait sympa, t'avais commencĂ© Ă  bien discuter avec un des garçons. Il te faisait rire, il Ă©tait sympa mais ton frĂšre te regardait d'un mauvais Ɠil. Toi t'avais rien voulu faire de mal, je voulais juste m'intĂ©grer Ă  sa bande, Ă  mon frĂšre tu vois, mieux m'entendre avec lui, mais il a vrillĂ©. Alors que tu dis ces mots tu te touches l'omoplate gauche, tu ressens encore la douleur parfois, comme si son Ăąme Ă©tait encore ici, en train de te que oui, d'aprĂšs lui t'Ă©tais allĂ© trop loin, tu voulais lui voler la vedette, tu voulais lui prendre tout ce qu'il avait. Est-ce que c'Ă©tait l'alcool ou bien juste lui qui devenait fou ? T'en savais rien, tu le saurais jamais. Enfin bref, il t'avait attrapĂ© par les cheveux, une fois au sol tu lui avais demandĂ© d'arrĂȘter, certains de ses amis avaient aussi voulu le calmer, peine perdue, une fois dĂ©chaĂźnĂ©, t'avais juste subi, en hurlant Ă  la mort parce qu'il avait martelait ta chair, Ă  vif dĂ©sormais. Le bras pendant t'Ă©tais partie, rentrer coĂ»te que coĂ»te au manoir, ne pas en parler Ă  Papa. Papa serait furieux. Sauf que manque de bol t'avais pas pu l'Ă©viter, t'avais mis trop de temps Ă  rentrer, il Ă©tait rĂ©veillĂ©, il vous attendait pour vous faire la moral sur les sorties. Des cris, des pleurs de Maman, et Papa. Papa qui avait jurĂ© qu'il retrouverait grand frĂšre, mais il fallait te soigner, tu saignais beaucoup. Puis quelques jours aprĂšs ça, il Ă©tait rentrĂ© Ă  la maison ce fameux frĂšre, ton pĂšre lui Ă©tait tombĂ© dessus, et on connait l'histoire qui suit. Une dispute, une bagarre, une fenĂȘtre deux morts. Tu avais un sourire en coin, au final c'Ă©tait triste, mais t'Ă©tais dans un Ă©tat second qui te faisait trouver ça presque risible parce que j'Ă©tais jeune, trop jeune pour comprendre que parfois faut pas tenter de sauver le diable, je l'aimais hein, faut pas croire, mais c'est compliquĂ© de lui trouver une excuse d'avoir tuĂ© Papa tu vois ? Pardon, j'te raconte ça mais c'est mes histoires, toi aussi tu dois avoir ton lot de galĂšres... AprĂšs tout, tu venais sans t'en rendre compte de lui expliquer dans les grandes lignes pourquoi des dĂ©mons te hantaient, si elle voulait elle pouvait faire de mĂȘme, t'avais de bonnes oreilles et puis on se foutait du temps qu'on passait ici non ? Tant qu'on y Ă©tait bien, enfin ce qu'on peut appeler aller bien dans votre cas. Malicia EvansPersonnel de Poudlard Re Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Malicia Evans, le Jeu 30 Avr - 1944 retard, retard, sorryyyy Est-ce que tu aurais pu y croire une seconde ? De tomber sur quelqu’un d’aussi torturĂ©e que toi. Vous n’ĂȘtes probablement pas torturĂ©e tout le temps mais il y a des jours oĂč vous sombrez. Maintenant en l’occurence. Encore rencontrer quelqu’un avec un passĂ© douloureux, ça pouvait sembler commun. Mais que tout cela se passe Ă  un moment oĂč vous n’ĂȘtes pas bien en mĂȘme temps. Faut avouer que ce n’est pas anodin. Sans comprendre pourquoi, tu cueilles ses mots. Tu Ă©coutes. Tu comprends. Comme tu l’as toujours fait. Des mots d’une jeune enfant blessĂ©e par la vie. Elle semblait bien avoir ton Ăąge mais la douleur qu’elle te renvoyait, te faisait penser Ă  une jeune fille. Une petite soeur qui fait tout se faire accepter, qui cherche contre toute attente l’approbation de son frĂšre. Mais a quoi bon chercher Ă  se faire accepter par quelqu’un qui visiblement ne le voudra jamais. Tu finis par te blesser. Et oui, ça ne sert Ă  rien de sauver quelqu’un qui ne veut pas l’ĂȘtre. Tu as fini par le comprendre plus tard. Tu t’es acharnĂ©e Ă  aider, Ă  chasser les dĂ©mons des autres, peut-ĂȘtre avec l’idĂ©e derriĂšre qu’on le fasse pour toi. Parce que dans ton cas, tu n’arrives pas Ă  te sauver. Aider les autres, c’est toujours plus simple que s’aider soi. Et tu n’y arrives pas. Tu n’es peut-ĂȘtre pas destinĂ©e Ă  aller mieux ? Oui, un moment tu as cru que tout allait passer, parce que tu as rencontrĂ© les personnes qu’il faut, qui foutent des claques, qui te font avancer, qui te font parler. Des annĂ©es sont passĂ©es avant que tu parles vraiment, en toute sincĂ©ritĂ©. Une sincĂ©ritĂ© qui brĂ»le moins la langue, j’ai Ă©tĂ© abandonnĂ©e par mes parents, jeune » trop jeune. Cinq ans tu te fais jeter par ta famille biologique, tu termines en foyer pour te faire adopter par un couple charmant. Seulement un temps. Parce qu’une fois que tu dĂ©couvres que tu es une sorciĂšre, ils t’abandonnent Ă  leur tour. Une jeune fille de onze ans livrĂ©e Ă  elle-mĂȘme. Je me suis isolĂ©e, c'Ă©tait plus simple, plus sĂ»r. » Seule, tu Ă©tais sĂ»re de ne pas ĂȘtre déçue. Tu ne voulais plus ĂȘtre abandonnĂ©e, eh oui, tu ne pouvais plus ĂȘtre atteinte par la cruautĂ© des autres. Mais non, des inconnus m’ont agressĂ©s, Ă  17 ans. » et lĂ  tu as commencĂ© Ă  t’abandonner toi-mĂȘme. Ton corps lui-mĂȘme s’est laissĂ© faire alors que tu ne voulais pas. Alors Ă  qui tu peux faire confiance ? Personne. MĂȘme pas toi. Tu aurais prĂ©fĂ©rĂ©e mourir. Tu ne souffrirais plus maintenant, plus qu’un lointain souvenir. J’arrive pas Ă  oublier. » Tu ne pourras jamais. Et tu le sais mais tu n’arrives pas Ă  passer au-dessus non plus. Alors comment on fait ? Tu te retrouves dans une impasse. Maintenant, je suis maman et je fais comme si tout allait bien pour mon fils », parce que tu lui dois et que tu ne peux plus continuer ainsi. Alors tu souris, doucement, balancĂ© lĂ©gĂšrement tes jambes dans le vide, fixant l’horizon ne t’excuses pas de me raconter tes histoires, parfois ça fait du bien de lĂącher. Des galĂšres diffĂ©rentes mais tout aussi pesantes. » Tu l’as regarde alors, tes yeux bleus sans lueur, froids, indiffĂ©rents mais un lĂ©ger sourire transperce toute cette noirceur dans le regard. On continue de vivre malgrĂ© tout. Angelina FrewliadPoufsouffle Re Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Angelina Frewliad, le Dim 24 Mai - 100 J'suis outrĂ©e par mon retard, dĂ©solĂ©e dĂ©solĂ©e dĂ©solĂ©eD'ordinaire tu souriais, tu embrassais la vie depuis ce jour oĂč elle t'avait Ă©pargnĂ©e, tu portais sur ton omoplate le souvenir de ce que tu devais au destin. Enfin, du moins tu y avais cru au dĂ©part au destin, au final le destin ça n'existe sĂ»rement pas, suffisait juste d'ĂȘtre nĂ© au bon endroit, au bon moment. Visiblement la blonde Ă©tait comme toi sur ce point, vous Ă©tiez pas tombĂ©es au bon moment ni mĂȘme au bon endroit. Ce qu'elle te racontait c'Ă©tait dur, tellement dur qu'elle semblait ĂȘtre immunisĂ©e, du moins elle ne laissait plus rien paraĂźtre. C'Ă©tait presque une performance, quelque chose qu'il faut applaudir parce que peu de gens pouvaient survivre Ă  tout ça, elle l'avait fait envers et contre bois ses paroles, tu comprends sa peine parce que bien que les histoires soient diffĂ©rentes, tu as acquiescĂ© sa remarque de la tĂȘte, ces histoires elles pĂšsent. Fallait pas se laisser aller, tu regardais la blonde te sourire, avant de continuer Ă  constater qu'on a des vies moisies, moi c'est Angelina, et toi tu t'appelles comment ? AprĂšs tout, t'avais cette sensation que vous Ă©tiez amenĂ©es Ă  vous recroiser prochainement, parce qu'elle ne disparaĂźtrait pas dans l'oubli, elle avait un fils, quelqu'un pour qui il fallait continuer de vivre, ton fils a besoin de toi pour pas vivre ce que t'as vĂ©cu, pis aussi parce qu'il t'aimera toujours inconditionnellement, il paraĂźt que les enfants sont les meilleurs pour ça, un lĂ©ger sourire, ça te donnerait presque envie d'en avoir lĂ , maintenant, ou bientĂŽt, enfin tu verrais t'Ă©tais reposĂ©e sur tes coudes, regardant le ciel, c'Ă©tait une page blanche pour toi, tu pourrais faire ce que tu veux dedans, si c'Ă©tait si facile de faire ça avec la vie, tous les jours on effaçait et on recommençait tout, t'imagines si on pouvait tout effacer et faire table rase du passĂ©, tu tournes la tĂȘte pour la regarder, tu voudrais toi tout effacer ? Oublier tout ça quitte Ă  perdre une partie de ce que tu es devenue aujourd'hui ? En y rĂ©flĂ©chissant tu le voudrais pas, parce que pour avancer t'avais besoin d'accepter, accepter que tout n'Ă©tait pas rose que rien n'Ă©tait facile ni gagnĂ©, mais que tout ce qui pouvait ĂȘtre pris mĂ©ritait de l'ĂȘtre, l'espoir pouvait toujours renaĂźtre. Re Un orage n'est jamais loin [AbandonnĂ©]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Simon ami ne m'avait pas dit "On le garde", j'aurais envisagĂ© une IVG." Aujourd'hui, maman d'un petit François de 11 mois, Delphine n'est toujours pas revenue de sa mĂ©tamorphose. "Un bĂ©bĂ©, c'est fabuleux, ça apporte un Ă©quilibre incroyable, s'enthousiasme-t-elle. J'ai arrĂȘtĂ© le nombrilisme, j'ai construit quelque chose."

DrĂŽle de Maman est, comme son nom ne l’indique pas, un blog destinĂ© aux parents. Il est pourtant lu Ă  99% par des femmes! Mais oĂč sont les hommes??;- Il Ă©tait temps de faire un article qui parle des hommes et surtout des papas!
 Merci Ă  Carole et Antoine du Blog Éduquer diffĂ©remment de m’avoir proposĂ© un article sur le sujet et de nous faire partager leur expĂ©rience concernant la place du papa dans le trio maman-papa-bĂ©bĂ©. Il y a maintenant 19 mois que je suis papa d’une petite fille, Gabrielle. Si au dĂ©but notre nouvelle relation Ă  3 se passait Ă  merveille, elle s’est un jour dĂ©gradĂ©e sans que je ne vois rien venir. Gabrielle me repoussait sans que je sache pourquoi. Je vais partager avec vous comment j’ai surmontĂ© cette phase pour retrouver ma place au sein du “couple” maman/bĂ©bĂ©. Si vous aussi vous en ĂȘtes lĂ , pas de panique, vous n’ĂȘtes pas seul 😉 Au dĂ©but, papa, maman et bĂ©bĂ© Les premiers mois qui ont suivis la naissance de Gabrielle, nous nous sommes beaucoup rĂ©partis les tĂąches pour Ă©viter d’ĂȘtre dĂ©bordĂ©s. Bien que Carole soit restĂ© 6 mois Ă  la maison j’étais trĂšs impliquĂ©. J’ai notamment rĂ©organisĂ© mes horaires pour passer du temps avec elles. Je me suis dĂ©couvert papa poule ! Je jouais avec Gabrielle le matin, je la couchais le soir. La nuit, je me levais changer la couche puis l’amenais Ă  Carole qui l’allaitait. Lorsque Carole a repris le travail, ce rythme a lĂ©gĂšrement changĂ© mais pas notre complicitĂ©. Pour Gabrielle, papa ou maman c’était pareil. La cassure Un jour, un peu aprĂšs son premier anniversaire quelle fĂȘte ! elle s’est mise Ă  me repousser. La premiĂšre fois, nous Ă©tions assis sur le canapĂ©. Gabrielle jouait Ă  cĂŽtĂ© de nous et elle s’est cognĂ©e. Je l’ai prise dans mes bras mais elle s’est dĂ©battu pour aller dans ceux de sa mĂšre. Et lorsque je posais ma main sur sa tĂȘte elle la repoussait. Cette prĂ©fĂ©rence s’est accentuĂ©e au fil des jours. DĂšs que Gabrielle n’était pas bien, elle allait toujours vers sa mĂšre, jamais vers moi. Et si je m’approchais tout de mĂȘme, elle criait et se dĂ©battait. Le soir, lorsque c’était mon tour de la coucher elle pleurait et appelait Carole. Le matin, je ne pouvais pas m’occuper d’elle tant que Carole n’était pas parti. Mon petit cƓur de papa poule en a pris un coup! GĂ©rer la pĂ©riode d’exclusion Les premiers temps, j’ai eu du mal Ă  accepter ce changement. À chaque fois cela m’énervait, je donnais Gabrielle Ă  Carole Ă  contre cƓur. Je pense que Gabrielle le ressentait ce qui n’arrangeait pas la situation. Alors, j’en ai parlĂ© autour de moi. Tout le monde me disait “ça va passer, bientĂŽt ce sera toi qu’elle collera”. Mais bon, rien ne changeait et ça ne me rassurait pas Et si pour nous, ça se passait diffĂ©remment. Et si elle ne se rapprochait jamais de moi. Et puis, progressivement, sur les conseils de Carole j’ai lĂąchĂ© prise. J’ai fini par accepter cette pĂ©riode difficile et le fait que notre complicitĂ© reviendrait plus tard. Ce qui me rassurait tout de mĂȘme c’est que lorsqu’on Ă©tait que tous les deux, elle Ă©tait trĂšs proche de moi, on passait de bons moments. RĂ©ussir Ă  traverser cette pĂ©riode La clĂ© dans ces moments, c’est de rĂ©ussir Ă  prendre du recul. Votre bĂ©bĂ© n’est pas responsable de cette situation. C’est un moment passager dĂ» probablement aux grands changements qu’il subit. Il se met Ă  marcher et Ă  parler. Son autonomie augmente, il a moins besoin de nous ce qui lui fait peur. Il a besoin, Ă  cet instant de son dĂ©veloppement, de se rapprocher de la personne qui le rassure le plus, dans notre cas, sa mĂšre. Mais on connaĂźt un couple chez qui c’est le pĂšre ne perdez pas espoir les gars! PlutĂŽt que de vous sentir touchĂ© personnellement comme je l’ai vĂ©cu , prenez-le comme une pĂ©riode oĂč votre enfant se rassure auprĂšs de sa maman. Ce n’est pas facile mais c’est naturel. Ne changez rien dans votre attitude jouez avec lui, faites lui des cĂąlins lorsqu’il en a envie, et ne vous sentez pas rejetĂ© lorsqu’il prĂ©fĂšre se rĂ©fugier dans les bras de son autre parent. Pour moi, ça a Ă©tĂ© dur mais si j’ai rĂ©ussi je suis sĂ»r que vous pouvez y arriver aussi ;, parole d’un papa tĂȘtu. Vous pouvez Ă©galement lui proposer un doudou. Ce rapprochement de l’enfant vers un de ses parents est aussi liĂ© Ă  l’angoisse de sĂ©paration. Le fait d’avoir un doudou peut faciliter la sĂ©paration, le doudou permettant une transition en douceur. Enfin, ne niez pas les sentiments de l’enfant. S’il pleure quand vous le prenez dans les bras, acceptez-le et mettez des mots dessus. Par exemple, vous pouvez lui dire “maman te manque, tu aimerais qu’elle soit ici avec toi” ou “tu es triste que ce ne soit pas maman qui te couche aujourd’hui”. Retour progressif de notre complicitĂ© Bonne nouvelle, cette phase difficile Ă  une fin! Dans notre cas, le rapprochement s’est effectuĂ© petit Ă  petit. Un jour, avant de se coucher, Gabrielle m’a pris dans ses bras. J’étais aux anges ! Puis, un matin en se rĂ©veillant elle m’a appelĂ©. Cette fois encore j’étais ravi J’ai failli faire le tour de l’appartement en criant de joie mais il Ă©tait assez tĂŽt, les voisins n’auraient pas apprĂ©ciĂ©! Depuis que nous sommes tous partis en vacances, j’ai l’impression qu’elle s’est encore rapprochĂ©e. Le premier jour aprĂšs notre retour, lorsque Carole est allĂ©e chercher Gabrielle chez la nounou, elle s’est mĂȘme Ă©criĂ©e PAPA! toute contente, pensant que c’était moi. HĂ©hĂ©, c’est ton tour maman. Mon bĂ©bĂ© m’aime et m’a toujours aimĂ©, tout comme votre bĂ©bĂ© vous aime. Ils ont seulement besoin de se rassurer auprĂšs de la personne dont ils sont le plus proche pendant un temps. C’est tout Ă  fait normal. Et moins cela vous inquiĂ©tera, plus cette phase sera rapide et douce. Antoine, du blog Éduquer diffĂ©remment A travers leur blog, Carole et Antoine partagent avec vous leurs aventures, leurs apprentissages ou leurs dĂ©couvertes sur le fait d’ĂȘtre parent et sur l’éducation positive. Photo de famille Éduquer diffĂ©remment – Photo du pĂšre et son bĂ©bĂ© Pixabay

papapas pret mais maman enceinte . 25 réponses /. Dernier post : 02/03/2010 à 13:25. G. Gal14rc. 15/10/2007 à 05:49. alors voila mon histoire : pour faire
Il n’y a pas d’ñge pour se sentir seul ou orphelin. MĂȘme si on est une adulte indĂ©pendant, responsable et qu’il y a longtemps qu’on ne dĂ©pend plus de nos parents, la douleur de les perdre n’en est pas moins vive ni moins longue Ă  s’estomper et Ă  guĂ©rir. AprĂšs la mort de ses parents, la vie change beaucoup, voire mĂȘme Ă©normĂ©ment. Devenir orphelin, mĂȘme lorsqu’on est adulte, est une expĂ©rience saisissante. Dans le fond de chaque personne, il y a toujours cet enfant qui a pu recourir Ă  son pĂšre ou Ă  sa mĂšre pour se sentir protĂ©gĂ©. Mais quand ils partent, cela disparaĂźt et de façon dĂ©finitive. On arrĂȘte de les voir pour le reste de la vie. Les parents sont des personnes qui nous ont amenĂ© au monde et avec qui on a partagĂ© le plus intime et le plus fragile. Lisez Ă©galement La mort d’un parent affecte la vie des adultes psychologiquement et physiquement Ils ne seront plus ces ĂȘtres grĂące Ă  qui, en grande partie, nous sommes devenus ce que nous sommes aujourd’hui. “Quand un nouveau-nĂ© serre le doigt de son parent dans son petit poing pour la premiĂšre fois, il l’a attrapĂ© pour toute la vie.”-Gabriel GarcĂ­a MĂĄrquez- La mort de ses parents entre en parler et la vivre, il y a un abĂźme Nous ne sommes jamais complĂštement prĂ©parĂ©s Ă  affronter la mort, et encore moins lorsqu’il s’agit de ses parents. C’est une grande adversitĂ© qu’il est toujours trĂšs difficile de surmonter totalement. Pour la surmonter, au moins en thĂ©orie, nous devons la comprendre et pourtant, la mort, dans le sens strict, est incomprĂ©hensible. C’est l’un des grands mystĂšres de l’existence peut-ĂȘtre le plus grand. Bien sĂ»r, la maniĂšre dont nous intĂ©grons les pertes a un rapport avec la maniĂšre dont elles sont survenues. Une mort appelĂ©e mort naturelle» est douloureuse mais beaucoup moins qu’un accident ou un assassinat. Si la mort a Ă©tĂ© prĂ©cĂ©dĂ©e d’une longue maladie, la situation est trĂšs diffĂ©rente que lorsqu’elle est subite. La diffĂ©rence de temps entre la mort des deux parent a aussi un impact s’il y a peu de temps, le deuil sera plus compliquĂ©. Si, Ă  l’inverse, le laps de temps est plus long, nous serons plus prĂ©parĂ©s Ă  l’accepter. Ce n’est pas seulement un corps qui s’en va, mais tout un univers, un monde fait de mots, de caresses, et de gestes. Tout cela manque de façon invraisemblable. La mort ne prĂ©vient pas. Elle peut s’anticiper, mais on ne sait jamais vraiment quand elle va arriver. Autant d’expĂ©riences vĂ©cues Ă  cĂŽtĂ© d’eux, de bonnes et de moins bonnes, qui nous font soudain trembler et se confondent en souvenirs. Le cycle se termine et c’est le moment de dire au revoir. “Ce qui est, sans ĂȘtre”
 Nous pensons, en gĂ©nĂ©ral, que ce jour ne va jamais arriver, jusqu’à ce qu’il arrive et qu’il prenne toute sa rĂ©alitĂ©. Nous sommes choquĂ© et nous ne voyons qu’une boĂźte, avec un corps rigide et calme, qui ne parle pas ni ne bouge, qui est lĂ , sans ĂȘtre là
 La mort nous fait comprendre de nombreux aspects de la vie des personnes mortes. Une comprĂ©hension plus profonde s’installe. Peut-ĂȘtre que le fait que ces personnes ne soient plus prĂ©sentes nous permet de mieux comprendre leur attitudes jusque lĂ  incomprĂ©hensibles, contradictoires voire mĂȘme rĂ©pulsives. C’est pour cela que la mort peut amener avec elle un fort sentiment de culpabilitĂ© vis Ă  vis de celui ou de celle qui est morte. Il est nĂ©cessaire de lutter contre ce sentiment, car il n’apporte rien, mis Ă  part de la tristesse supplĂ©mentaire, qu’il est impossible de consoler. Pourquoi culpabiliser d’avoir fait des erreurs ? Nous sommes des ĂȘtres humains et cet adieu doit aussi comporter des pardons de la part de celui qui part envers celui qui reste ou de celui qui reste envers celui qui part. CrĂ©dits images Pixabay Profitez-en tant que vous le pouvez ils ne seront pas toujours lĂ  Quand nos parents meurent, peu importe leur Ăąge, on ressent souvent un sentiment d’abandon. C’est une mort diffĂ©rente des autres. De mĂȘme, certaines personnes refusent de donner Ă  ce fait l’importance qu’il a, pour se protĂ©ger, Mais ces deuils non rĂ©solus se transforment en maladie, en fatigue, en irritabilitĂ© ou en dĂ©pression. Les parents sont le premier amour. Peu importe le nombre de conflits ou de diffĂ©rences qu’il y a eu avec eux ce sont des ĂȘtres uniques et irremplaçables dans le monde Ă©motionnel, mĂȘme si nous sommes autonomes et indĂ©pendants, mĂȘme si notre relation avec eux est tortueuse. Quand ils ne sont plus lĂ , on ressent leur absence et on ne bĂ©nĂ©ficiera plus jamais» de leur protection ou de leur soutien, qui ont toujours Ă©tĂ© prĂ©sents. De fait, qui n’a pas connu ses parents, ou s’est Ă©loignĂ© d’eux trĂšs tĂŽt a tendance Ă  vivre toute sa vie avec ce fardeau d’absence. Une absence qui est finalement une prĂ©sence il y a dans notre cƓur un lieu qui les rĂ©clame. De toute façon, l’une des grandes pertes dans la vie est celle de nos parents. Cela peut ĂȘtre difficile Ă  surmonter, surtout si on les a nĂ©gligĂ©s ou qu’on s’est mal comportĂ© vis Ă  vis d’eux. C’est pour cela que tant qu’ils sont vivants, il est important de prendre conscience qu’ils ne sont pas Ă©ternels, qu’ils sont gĂ©nĂ©tiquement et psychologiquement Ă  l’origine de notre existence, qu’ils sont uniques et que la vie changera pour toujours quand ils partiront. CathyGuetta a Ă©voquĂ© son quotidien de maman dans l’émission 50’ Inside, diffusĂ©e samedi 20 aoĂ»t 2022 sur TF1.Dans le reportage, sa fille Angie, ĂągĂ©e de 14 ans, a fait une apparition

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 RĂ©ponses C'est une bonne idĂ©e mais il y a d'autres façons de disparaĂźtre ! Dommage que les vampires ne soient 'dĂ©bloquĂ©s' qu'Ă  la huitiĂšme gĂ©nĂ©ration... Je trouvai cela fort triste et je me pris Ă  rĂȘver d’un monde oĂč les stars n’existeraient pas, oĂč tout le monde serait du mĂȘme milieu », et oĂč nous pourrions vivre en paix. Attention Ă  ce que tu souhaites, chĂšre Perrine ! J'aime beaucoup tout ce mystĂšre autour de la fameuse Brume annoncĂ©e, puis du CrĂ©ateur. Je me demande d'ailleurs si les hĂ©ritiers par la suite seront eux aussi "guidĂ©s" par cette voix entendue en rĂȘve. Perrine a l'air d'autre part de s'ĂȘtre dĂ©couvert une passion pour le jardinage une idĂ©e brillante en cas d'apocalypse, ça pourra toujours servir , j'ai hĂąte de dĂ©couvrir la suite et de savoir vers quelle carriĂšre elle se tournera une fois jeune adulte. En tout cas j'ai beaucoup aimĂ© cette troisiĂšme partie de prologue que j'ai trouvĂ© assez 'biblique' avec son annonce du dĂ©luge divin et 'l'Ă©lue' qui prĂ©pare son petit jardin comme une sorte d'Arche de NoĂ© vĂ©gĂ©tale ! Les Contraires s'attirent Amor Fati TerminĂ© 1 Perinne me fait de la peine, c'est parents la calcule Ă  peine, faut croire que l'argent , la notoriĂ©tĂ© est plus important que leur fille..elle est si douce et mignonne en plus, la plupart des enfants stars me font de la peine, j'ai l'impression que ses parents on voulu d'elle juste pour que les journaux parle d'eu, maintenant Perinne grandis elle est toujours aussi sur d'elle et tant mieux, son pĂšre a l'air de mieux l'apprĂ©cier que sa mĂšre, sa mĂšre aussi a changer un peu mais reste une dame qui pense qu'Ă  elle et son pĂšre aussi, les deux d'ailleurs ont pas l'air de vraiment s'aimer La copine de Perinne est trĂšs sympa, je comprend pas que ses parents veulent pas qu'elle traine avec cette fille..., J'espĂšre que en grandissant leur diffĂ©rence social ne vont pas prendre le dessus J'ai l'impression que le monde de Perinne va seffonder, j'ai hĂąte de voir ce que tu nous rĂ©serve 1 nathalie986 j'adore cette histoire, je n'ai pas tout Ă  fait fini, j'ai lu jusqu'Ă  l'anniversaire de Perrine ado, je continuerai un peu plus tard, elle n'a pas de chance avec ses parents, heureusement qu'elle a d'autres personnes qui l'aiment mĂȘme si ça ne remplace pas ses parents ... 😘 💝 1 Elinoee Ah cette brume ! C’est assez angoissant cette brume qui s’épaissit... Est-ce qu’Orange et Elsa ferons partie de la suite, je ne peux pas encore te le dire... Oh, je suis touchĂ©e que tu trouves Perrine parfaite pour le SBS. Ça me fait vraiment plaisir. Ses parents ne sont pas au top mais c’est vrai que son pĂšre fait des efforts, mĂȘme s’il ne s’y prend pas trĂšs bien. Quant Ă  sa mĂšre... je crois que tu as bien trouvĂ© le mot irrĂ©cupĂ©rable ! Portocongo7 Je te rassure, Porto, il n’y a aucun malentendu et tu as parfaitement raison de dire que Perrine est moins dans le bling bling que ses parents. Oui, Perrine est une jolie adolescente mais ses parents ne sont pas les meilleurs parents du monde, malheureusement pour elle. Mais elle a Amandine, Elsa et Orange. Oui, Orange aime sincĂšrement Elsa. Et oui, il est gros et musclĂ© mais je l’ai vu dans d’autres histoires oĂč il Ă©tait plutĂŽt pas mal. Je crois que toi et moi, on n’a pas eu de chance... Perrine entend une voix qui lui parle dans son sommeil ? Le monde va-t-il s’écrouler ? La prĂ©diction n’est pas joyeuse, en tous cas... Un joli monde que serait le monde dont rĂȘve Perrine. Aujourd’hui, c’est la derniĂšre partie du prologue. Tu vas donc savoir bientĂŽt si Perrine va partir loin de ses parents Melsy_Lba Ah ah ! Nous ne sommes pas encore Ă  la gen 8 mĂȘme si pour moi, elle est dĂ©jĂ  jouĂ©e Les rĂȘves de Perrine sont trĂšs beaux, mais vont-ils se rĂ©aliser ? La brume arrive, Melsy... Pour le CrĂ©ateur, il y a effectivement de trĂšs grandes chance que sa voix s’adresse plus tard aux futurs hĂ©ritiers. Le jardinage est effectivement essentiel pour tous les challenges, type apocalypse. Tu peux te nourrir et vendre tes rĂ©coltes, donc c’est pas mal. Pour, la carriĂšre de Perrine, j’ai choisi une carriĂšre qui rapporte ». Tu vas dĂ©couvrir ça trĂšs bientĂŽt Oh, j’aime bien ta vision biblique de l’histoire ! Elle me plait beaucoup ! L4GaM3US3 Tu as trĂšs bien cernĂ© le personnage de Perrine et son entourage. Oui, il y a de grandes probabilitĂ©s pour que le monde de Perrine change... Pour le moment, ce n’est que le prologue. Maroussia Tu n’as qu’un chapitre de retard dans ce cas, ce qui n’est pas bien grave. Tu vas rattraper trĂšs vite, j’en suis sĂ»re. Toutes les personnes du monde ne remplaceront jamais des parent, je suis bien d’accord, mais dans le cas de Perrine, elle en a bien besoin. Ses parents ne sont pas du tout prĂ©sents pour elle. Merci de suivre cette histoire et de l’aimer. Et maintenant, la derniĂšre partie du prologue Prologue 4/4 - Brume Une nouvelle fois, le lendemain soir, je me retrouvai devant les informations nationales avec mes parents et Amandine qui nous avait rejoints. - Le brouillard s’épaissit Denise, l’avez-vous remarquĂ© ? - Bien entendu, Guy. Les climatologues s’interrogent et sont dans l’incapacitĂ© de nous donner des rĂ©ponses. Cela devient trĂšs inquiĂ©tant. Elsa avait raison. Il ne s’agissait pas de brouillard, mais bien d’une brume, une brume qui prenait de l’ampleur, comme cela m’avait Ă©tĂ© annoncĂ©. Denise aussi avait raison. Cela devenait inquiĂ©tant... Le monde Sim tel que je le connaissais Ă©tait sur sa fin. Je le sentais au plus profond de moi. Le lendemain aprĂšs-midi, alors que je m’occupais de mon petit jardin, je me rendis compte, qu’effectivement le ciel Ă©tait encore plus brumeux que la veille. Je sortis pour voir cela de plus prĂšs. Nous Ă©tions en plein jour et, en plus de la brume, le ciel s’était aussi assombri, comme dans la prophĂ©tie. Que disait-elle dĂ©jĂ  ? La brume t’enveloppera, et le ciel s’assombrira, l’Elu soufflera, le silence noir sera lĂ  et le monde nouveau commencera ». Il me parut Ă©vident que la prophĂ©tie Ă©tait en train de se rĂ©aliser. Je m’interrogeai quand mĂȘme... Nous nous interrogions tous d’ailleurs, mĂȘme si je restais la seule Ă  avoir entendu Ses paroles... Qu’est-ce que cela pouvait bien signifier ? Je n’eus pas le temps de m’appesantir sur le sujet car je dus me prĂ©parer pour aller rejoindre Elsa au Festival de San Myshuno. Thorne jouait de la guitare et avait attirĂ© plusieurs sims autour de lui. Il faut dire qu’il jouait divinement bien. Elsa me fit remarquer que toutes les lumiĂšres Ă©taient allumĂ©es alors que nous Ă©tions au milieu de la journĂ©e. - Tu te rends compte, on se croirait en soirĂ©e. - C’est vrai, Elsa, mais les gens semblent s’amuser quand mĂȘme alors faisons de mĂȘme ! - Tu as raison. Allons-nous asseoir. Je vais te raconter mon rendez-vous avec Orange. Dire que c’est son pĂšre qui est en train de jouer ! Et Elsa me raconta combien Orange Ă©tait tendre et attentionnĂ©, passionnĂ© et passionnant et qu’elle avait passĂ© avec lui une soirĂ©e de rĂȘve. - Et il m’a embrassĂ©e ! Je crois que je l’aime... J’étais trĂšs heureuse pour mes amis mais je ne pouvais m’empĂȘcher d’espĂ©rer qu’ils puissent profiter de tout leur amour naissant. Et je ne savais malheureusement pas de quoi demain serait fait. Quelques jours plus tard, la veille de mon anniversaire, j’accompagnai mes parents Ă  la cĂ©rĂ©monie des Topisims. Papa avait Ă©tĂ© nominĂ© pour deux de ses vidĂ©os et Maman pour son cĂ©lĂšbre film de science-fiction. La premiĂšre Ă  recevoir une rĂ©compense fut Brittany Chow et mon pĂšre suivit derriĂšre pour une de ses vidĂ©os. J’étais trĂšs fiĂšre de lui mais Maman faisait la tĂȘte. Je pense qu’elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© ĂȘtre Ă  sa place. Il nous fit un magnifique discours et dĂ©dia son Topisim Ă  Maman. - C’est super, Maman ! Tu ne trouves pas ? Papa a vraiment assurĂ© ! - J’aurais prĂ©fĂ©rĂ© avoir MON topisim ! Puis il fut de nouveau rĂ©compensĂ© pour sa seconde vidĂ©o et Maman ravala sa salive. Papa embrassa la prĂ©sentatrice puis revint vers son public, trĂšs heureux. - Quoi ?! avait dit Maman... Elle ne semblait pas se rĂ©jouir. - Merci, merci Ă  tous, disait mon pĂšre. Et puis il me dĂ©dia son deuxiĂšme topisim - Celui-lĂ  est pour ma fille Perrine que j’adore ! J’entendis ma mĂšre marmonner quelque chose d’inaudible. Elle n’était visiblement toujours pas contente. Mais elle reprit contenance pour me dire - Bon ce sera pour la prochaine fois
 Je suis heureuse que ton pĂšre t’ait dĂ©diĂ© ce Topisim. Il y avait du monde autour de nous. Je ne doutais pas un instant de la raison pour laquelle ma mĂšre m’avait tenu ce discours si aimable... La prĂ©sentatrice annonça la fin de la cĂ©rĂ©monie. Il Ă©tait temps de partir. Non seulement Papa et Maman allaient tous deux vieillir cette nuit et il n’était pas question pour eux de faire cela en public mais en plus, je fĂȘtais mon anniversaire le lendemain soir et je voulais me reposer pour ĂȘtre en forme. C’était la premiĂšre fois que j’assistais Ă  une remise des Topisims et je fus surprise de voir tous les badauds qui attendaient Ă  la sortie du studio PBP dans l’unique but d’apercevoir une star. Je me sentis d’un coup, trĂšs importante. Maman, quant Ă  elle, fulminait aprĂšs une grande gi-gasse » qui avait copiĂ© sa coiffure. Je ne pus m’empĂȘcher de me retourner. Leurs deux coiffures Ă©taient vraiment identiques ! C’était aussi cela les surprises de ce genre de cĂ©rĂ©monie. Maman trouva mĂȘme un mot gentil Ă  dire Ă  Papa. - Tu as Ă©tĂ© extraordinaire, Pierre ! - Merci Monique. Mes parents allaient toujours Ă  l'essentiel. Je le fĂ©licitai Ă  mon tour et il me prit dans ses bras. - Bravo Papa, lui dis-je alors. J’étais vraiment fiĂšre de lui. Les badauds commencĂšrent Ă  se disperser et les déçus de la soirĂ©e aussi
 - Papa, tu as Ă©tĂ© formidable ! Pas de doute, tu connais la tendance. Le lendemain soir je fĂȘtai donc mon anniversaire. Fait exceptionnel, mes parents Ă©taient lĂ , ce qui me rĂ©jouit Ă©normĂ©ment. Pourtant il manquait quelqu’un. Papa et Maman avait donnĂ© congĂ© pour la soirĂ©e Ă  Amandine. - Mais pourquoi ? avais-je demandĂ©. - Nous voulions ĂȘtre en famille, tous les trois mais ne t’inquiĂšte pas. Une petite fĂȘte est prĂ©vue demain avec Amandine ! Je m’exĂ©cutai donc et prit tout mon souffle pour passer Ă  l’ñge de jeune adulte mais
. Mais quelque chose se produisit... Je n’entendis plus rien... La brume nous enveloppait peu Ă  peu et le noir avec, jusqu’à devenir total et sombre... Plus personne ne parlait... Ou alors, nous ne le pouvions pas... Le noir de la prophĂ©tie.... Il Ă©tait lĂ ... Il me sembla que cela durait une Ă©ternitĂ© mains en rĂ©alitĂ©, quelques minutes seulement avaient dĂ» passer... Lorsque la lumiĂšre revint, nous ne comprĂźmes pas... De mon cĂŽtĂ©, j’avais ma petite idĂ©e mais mes parents Ă©taient complĂštement perdus. - Mais qu’est-ce qu’on fait lĂ  ? avait dit ma mĂšre. - Cette maison... Ce n’est pas la nĂŽtre..., rajouta mon pĂšre. Nous regardions autour de nous, abasourdis. Nous sortĂźmes pour dĂ©couvrir notre jardin qui se rĂ©sumait Ă  une petite terrasse avec quatre chaises, une table, un banc et un barbecue. Notre maison Ă©tait trĂšs petite et il n’y avait que deux chambres une avec un lit double l’autre avec un lit simple. Je la trouvais mignonne. Maman n’était pas de cet avis. Le mobilier Ă©tait trĂšs spartiate et de trĂšs mauvaise qualitĂ© selon elle. Maman alla voir sa chambre de plus prĂšs. Je ferme les yeux, pensa-t-elle. Lorsque je vais les rouvrir, je serai Ă  Del Sol Valley dans ma belle demeure luxueuse, avec mes domestiques. Mais cela ne se passa pas exactement comme ça
 Nous entendĂźmes Maman hurler. - Noooooooooon ! Maman prit alors son tĂ©lĂ©phone portable pour appeler les producteurs et rĂ©alisateurs qu’elle connaissait. Elle n’avait plus aucun contact. Pire que tout elle chercha des emplois d’actrice sur le tĂ©lĂ©phone et cette carriĂšre n’existait plus dans ce monde. Elle essaya de se changer dans l’armoire mais ses anciennes tenues n’y Ă©taient plus. Et elle rĂ©alisa qu’elle n’avait plus d’argent. Tous ses millions Ă©taient restĂ©s entassĂ©s dans un coffre-fort, ailleurs, dans un monde que nous ne reverrions sans doute jamais
 Je pensai Ă  la prophĂ©tie. Elle s’était rĂ©alisĂ©e. Afin de comprendre ce qui se passait, mon pĂšre avait allumĂ© le tĂ©lĂ©viseur. - Nous en saurons peut-ĂȘtre davantage... - Cette tĂ©lĂ© est d’un minuscule... rĂąla ma mĂšre. Guy et Denise Ă©taient toujours sur nos Ă©crans. L’information ne faisait aucune mention de ce qui venait de se passer et les actualitĂ©s s’enchaĂźnaient comme si tout Ă©tait normal. - Nous sommes peut-ĂȘtre les seuls Ă  avoir subi cet Ă©vĂšnement, avait dit mon pĂšre d’une voix mal assurĂ©e. Je me tournai alors vers mes parents - Il faut que je vous dise quelque chose. Et je leur expliquai mes rĂȘves et la prophĂ©tie puis leur retransmis, de mĂ©moire, le dernier message que m’avait laissĂ© le CrĂ©ateur, la nuit prĂ©cĂ©dent mon anniversaire. Demain, tu atterriras dans un monde nouveau, Perrine. VoilĂ  ce que tu dois savoir le monde sim partait Ă  vau-l’eau. La plupart des personnes qui y vivaient ne souciait plus des unes et des autres, oubliaient que la nature existait et s’enfermaient dans un Ă©goĂŻsme monstrueux. Vous, les sims, avez dĂ©truit votre propre monde. Tu fais partie des vingt-cinq pour cent de la population qui ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©s pour refaire ce monde. Tu es l’Elue. Je te donne treize gĂ©nĂ©rations. Demain, tu seras dans un monde neuf, ceci afin de te faire redĂ©couvrir ton propre monde. Ce monde se rĂ©duira Ă  deux villes et n’offrira plus toutes les possibilitĂ©s de celui que tu as connu. Ce nouveau monde est le monde tel qu’il Ă©tait avant que les sims ne naissent, bien avant, sans vĂȘtement excentriques, sans coiffures affriolantes ou constructions dĂ©lirantes. Ce monde est simple et lorsque vos ancĂȘtres y vivaient, ils y Ă©taient heureux. Alors, pourquoi pas vous ? » Maman murmura - C’est un cauchemar... Je les regardai, mes parents
 Ils ne m’avaient pas apportĂ© grand-chose Ă  part la solitude et un manque d’amour Ă©vident mĂȘme s’ils se rapprochaient un peu de moi maintenant. Je sus que je devrais les quitter. Ce que je ne leur avais pas dit, c’est que les vingt-cinq pour cent de la population qui se retrouvait ici n’avait plus aucun souvenir de leur vie passĂ©e. Ils ne feraient pas exception Ă  la rĂšgle. Le CrĂ©ateur m’avait laissĂ© plus de temps pour leur dire au revoir, c’est tout. Je serai la seule Ă  me souvenir... - Je ne trouve pas que ce soit un cauchemar, avait dit mon pĂšre. Je vois plutĂŽt lĂ  une occasion de repartir de zĂ©ro. Et pourquoi pas nous retrouver, toi et moi. Papa avait tout compris. Le lendemain matin, je me levai confiante et rassurĂ©e. J’observai mes parents derriĂšre la porte vitrĂ©e de la petite maison. Il fallait que je le leur dise. Le CrĂ©ateur est venu dans mon sommeil pour me parler Perrine tu es l’Elue mais aussi la fondatrice de ce nouveau monde, monde qui restera dans la simplicitĂ© que tu dĂ©couvriras en le visitant, sauf si tu arrives Ă  le sauver. Tu es la seule qui pourra ramener le monde Ă  ce qu’il Ă©tait, mais au bout de treize gĂ©nĂ©rations et Ă  la condition que tu respectes les consignes donnĂ©es et que tes hĂ©ritiers fassent de mĂȘme. A chaque gĂ©nĂ©ration, les consignes seront diffĂ©rentes, cela dans le but de vous rĂ©apprendre le monde. En tant que fondatrice, tu devras accomplir tous les objectifs demandĂ©s avant de mourir sous peine de voir le monde Sim rester limitĂ© Ă  deux villes Ă©ternellement. Il en sera de mĂȘme pour chacun de tes hĂ©ritiers car, Ă  chaque accomplissement, de nouvelles possibilitĂ©s seront dĂ©bloquĂ©es. Si un hĂ©ritier faillit Ă  sa mission, l’évolution du monde cessera avec ce manquement. Il est donc indispensable que tu choisisses bien cet hĂ©ritier et que tu transmettes l’importance des missions Ă  celui ou celle qui y sera destinĂ©, de maniĂšre qu’il puisse la transmettre Ă  son tour. La premiĂšre de mes consignes est de quitter la cellule familiale pour mener ta propre vie. Tu ne les reverras plus... » Il fallait donc que j’annonce Ă  mes parents la nouvelle. Mon pĂšre sembla dĂ©sespĂ©rĂ©. - Tu ne vas pas partir maintenant ? Ma mĂšre Ă©tait fiĂšre. Le fait que sa fille soit l’élue lui apparĂ»t comme une forme de notoriĂ©tĂ©, ce qui n’était pas du tout le cas puisqu’elle ne pourrait en parler Ă  personne. - Perrine... Nous nous retrouvons Ă  peine... - Papa
 Nous ne nous retrouvons pas. Nous ne nous sommes pas perdus, non plus. Vous n’ĂȘtes juste jamais venus Ă  moi Maman et toi. Mon pĂšre prit un air vraiment affligĂ© que je ne lui reconnus pas mais il avoua timidement que j’avais raison. Je l’encourageai Ă  me prendre dans ses bras. Je n’avais aucune rancune. Je voulais juste que l’on se quittĂąt en bon terme. Ma mĂšre me regarda encore fiĂšrement. C’est dommage qu’elle ne m’eĂ»t jamais regardĂ©e ainsi durant mes annĂ©es d’enfance ou d’adolescence. Elle afficha cependant un air triste lorsque mon pĂšre me serra dans ses bras et me dit au revoir. Maman me prit dans ses bras Ă  son tour et Papa me souhaita bonne chance. Je quittai alors cette maison inconnue de moi dans laquelle j’avais passĂ© deux jours et une nuit. Les paroles de mon pĂšre rĂ©sonnaient Ă  mon oreille. Je n’avais jamais vraiment Ă©tĂ© heureuse jusqu’à prĂ©sent. Trois personnes me manquaient Amandine, Elsa et Orange. Je devinai que je ne les reverrai jamais. Je n’avais mĂȘme pas pu leur dire au revoir et cela m’attristait
 Et pourtant je me sentais libre et sereine. Je savais que je pouvais trouver ce vrai bonheur et ĂȘtre heureuse. Le CrĂ©ateur me l’avait dit et je le croyais. Ce fut ainsi que je m’éloignai pour toujours de mes parents, prĂȘte Ă  mener une nouvelle vie et Ă  accomplir ma mission pour sauver le monde Sim. A suivre ...Merci aux protagonistes de ce prologue BientĂŽt la GĂ©nĂ©ration 1 ! 3 Haha,ça me rappelle quelque chose ce soufflage de bougies qui les emmĂšne dans un autre monde Enfin la brume est tout de mĂȘme plus classe que le "Poof",je l'avoue Je suis déçue pour Perrine qu'elle ait perdu ses amis et Amandine,mais elle a l'air de faire contre mauvaise fortune bon coeur et semble vraiment rĂ©solue Ă  remplir sa mission! De plus,ses parents sont enfin allĂ©s un peu vers elle...il Ă©tait temps. Un point positif Allez,go Perrine! 1 Wow sacrĂ© chapitre 😆 Sa fait penser Ă  l'apocalypse franchement 😆 Les parents de Perrine sont devenu plus proche de leur fille..mais dommage qu'il le soit devenu au dernier moment đŸ˜¶ J'aurai pas pensĂ©e que ils ont fait parti des 25% qui ont Ă©tĂ© dans un nouveau monde a refaire , j'espĂšre qu'il va ĂȘtre mieux que l'ancien ✹ Et l'ancienne terre se situe ou maintenant ? J'avoue que c'est triste Perinne va plus revoir c'est amis comme Orange , Elsa et Amandine 😣 enfĂȘte c'est comme si elle avait jamais existĂ©, malgrĂ© tout elle reste sereine son pĂšre aussi, sa mĂšre elle parcontre a l'air a bout, elle va plus jamais revoir ses parents aĂŻe đŸ˜¶ HĂąte de voir la gĂ©nĂ©ration 1 😉 1 Bon certes ce n’était pas un POOF’, mais un PCHHH-KOF-KOF’
 Ceci dit le rĂ©sultat est malheureusement bien le mĂȘme... tous ses amis ont disparu ! Un chapitre Ă  double-saveur finalement, puisque bien sĂ»r l’isolement de Perrine est assez tragique... mais alors pour le coup, les parents qui perdent toute leur superbe bien aimĂ©e qu’est-ce que c’est savoureux ! Le travail sur ton sreen en noir et blanc pour reproduire la brume est vraiment top ! J’ai beaucoup aimĂ© les petites bulles de BD Ă©galement. Je ferme les yeux, pensa-t-elle. Lorsque je vais les rouvrir, je serai Ă  Del Sol Valley dans ma belle demeure luxueuse, avec mes domestiques. Ce passage est juste
 magique ! Qu’est-ce que j’ai ri ! En tout cas j’ai adorĂ© ta mise-en-scĂšne avec la brume et les messages du CrĂ©ateur ! Je trouve que c'Ă©tait une trĂšs bonne idĂ©e. J’espĂšre simplement que tu ne t’arrĂȘteras pas Ă  la treiziĂšme gĂ©nĂ©ration 
 Pourquoi s’arrĂȘter sur une si bonne lancĂ©e ? Et c’est donc sur le dĂ©part motivĂ© de Perrine que ce prologue s’achĂšve. J’ai vraiment hĂąte de la voir commencer sa nouvelle vie. Une carriĂšre qui rapporte » dis-tu ? La premiĂšre qui me vient Ă  l’esprit c’est Criminel’ J’ai comme un doute
 Aller je parie plutĂŽt sur Peintre’, gloire aux chevalets ! Les Contraires s'attirent Amor Fati TerminĂ© 1 Quelle bonne idĂ©e tu as eu pour amener ce challenge ... l'histoire commence aujourd'hui 😉😍😘 Galerie ID Nicole46Trois opĂ©rations Voir, opĂ©ration de l’Ɠil. Observer, opĂ©ration de l’esprit. Contempler, opĂ©ration de l’ñme. Quiconque arrive Ă  cette troisiĂšme opĂ©ration entre dans le domaine de l’art.» Emile Bernardl'Univers de Nicole clic sur image 1 Superbe prologue en tout cas! la brume est bien apparue tel que la prophĂ©tie le signalait... et Perrine a l'air confiante, c'est dĂ©jĂ  un super bon point! Elle va rĂ©ussir les objectifs j'en suis certaine. 1 Post edited by nathalie986 at 0832 4 Avant de commencer cette mise Ă  jour, j’avais oubliĂ© de mentionner dans le chapitre prĂ©cĂ©dent que la jolie maison de Perrine Ă  Del Sol Valley est une crĂ©ation de XxRayan28xX que vous trouverez dans la galerie sous le nom de Modern celebrity mansion. Je l’ai un peu modifiĂ©e pour mes besoins, mais pas tant que ça. Ensuite, pour en revenir au prologue, je me suis un petit peu inspirĂ©e de deux films de Stephen King pour l’écrire Brume » et Les langoliers », qui Ă©taient des crĂ©atures mangeuses de monde... Bon mon histoire n’a rien d’aussi horrifiant que dans ces deux films et n’a surtout rien Ă  voir avec eux mais quand mĂȘme, ils m’ont inspirĂ©e VoilĂ , voilĂ . Revenons maintenant Ă  vos commentaires Elinoee Je pense je suis mĂȘme sĂ»re que le soufflage de bougie avait dĂ» m’inspirer et j’espĂšre que tu ne m’en voudras pas. Le Poof » est anthologique et revient Ă  chaque gĂ©nĂ©ration tandis que la Brume n’arrivera qu’une fois. Je ne l’ai jamais rĂ©utilisĂ©e ensuite. C’est vrai que ça fait classe » mais je ne sais mĂȘme plus quel filtre j’avais choisi pour avoir ce rendu mais il me semble que je l’avais travaillĂ© en plusieurs Ă©tapes. Malheureusement, je n’ai pas pu ramener tout le monde dans la nouvelle vie de Perrine puisqu’elle doit repartir Ă  zĂ©ro. Tant pis pour Amandine, Orange et Elsa. Nos sims ont une facultĂ© d’adaptation hors du commun que nous leur envions, et ils ne restent jamais tristes bien longtemps. Ses parents sont revenus vers elle. Mais ils se sont malheureusement rĂ©veillĂ©s un peu tard. C’est parti pour Perrine, maintenant ! Portocongo7 Oui ça fait penser Ă  l’apocalypse mais en moins sĂ©vĂšre quand mĂȘme puisqu’il y a quand mĂȘme deux mondes avec toutes leurs infrastructures. Les parents de Perrine on trop tardĂ© Ă  venir Ă  elle. Comme tu dis, c’est dommage. Il n’y a plus d’ancien monde. Il n’y a qu’Oasis Spring et Willow Creek. Le reste du monde a Ă©tĂ© avalĂ© » par la brume. Perrine ne va plus revoir ses parents, mais est-ce si grave aprĂšs tout ? Melsy_Lba Un PCHHH-KOF-KOF ? Quoi ? Ah oui, ce fut savoureux, cette immersion soudaine dans le monde des petites gens » ! Je crois que la mĂšre de Perrine n’est pas prĂȘte de s’en remettre ! Heureuse que cela t’ait fait rire ! Merci pour mon screen en noir et blanc. Je ne sais plus comment j’ai fait ça mais c’est vrai qu’il rend bien. Les petites bulles de dialogue, j’ai souri en les revoyant car je ne me souvenais plus que j’avais fait des trucs comme ça. Alors non, je ne pense pas m’arrĂȘter Ă  la treiziĂšme gĂ©nĂ©ration mais lorsque j’ai commencĂ© l’histoire, c’était le cas. Je ne peux pas tout changer maintenant car il me faudrait réécrire des passages entiers qui sont dĂ©jĂ  Ă©crits jusqu’à la gĂ©nĂ©ration 8. Je pense que je vais plutĂŽt me dĂ©brouiller de tout cela avec une pirouette qui permettrait de passer de la gĂ©nĂ©ration 13 Ă  la 14. Mais je verrai cela plus tard car je n'ai aucune idĂ©e prĂ©cise pour le moment. Allez, comme dirait Elinoee, Go, Perrine ! Nicole46 C'est exact ! L'histoire commence aujourd'hui ! Alors, allons-y Nina04 Perrine est confiante, et j'ai confiance en elle. Alors que l'aventure commence ! N'oubliez pas cependant de me "pardonner" pour les images floues, les plumbobs et autres, que vous rencontrerez au dĂ©but de cette histoire... Je n'Ă©tais pas encore au point Ă  l'Ă©poque. GĂ©nĂ©ration 1 - PerrineChapitre 1/9 - ArrivĂ©e Ă  Willow Creek J’arrive Ă  Willow Creek dans un quartier verdoyant appelĂ© Foundry Cove. J’ai refait ma garde-robe avec ce qui existe dans ce nouveau monde, me suis recoiffĂ©e de façon Ă©lĂ©gante et m’apprĂȘte Ă  affronter mes nouvelles responsabilitĂ©s. Je suis passĂ©e rĂ©cupĂ©rer mes clĂ©s Ă  l’agence immobiliĂšre et me voilĂ  enfin chez moi. Je regarde autour de moi la maison a l’air coquette, vu de l’extĂ©rieur. Pourtant, elle porte le nom de Taudis des Marguerites » ! IncohĂ©rent Ă©galement avec le fait qu’elle soit entourĂ©e de jacinthes, mes fleurs prĂ©fĂ©rĂ©es ! C’est un peu pour cela que j’ai choisi d’habiter ici et puis aussi parce que j’y suis dĂ©jĂ  venue pĂȘcher plus jeune, avec mon pĂšre et que j’avais aimĂ© le quartier. Je ne suis pas pressĂ©e d’aller voir l’intĂ©rieur de la maison. Je vais plutĂŽt faire un tour dans le quartier. Le coin a l’air calme et je suis entourĂ©e de trois voisins. Il y a une belle riviĂšre. Je suis dĂ©jĂ  tout Ă©moustillĂ©e Ă  l’idĂ©e de pouvoir pĂȘcher prĂšs de chez moi. Le quartier est arborĂ©, ce qui n’est pas pour me dĂ©plaire, et je suis dĂ©jĂ  intriguĂ©e par la prĂ©sence d’un arbre diffĂ©rents des autres, un bel arbre majestueux. Il me rappelle quelque chose
 Comme si je l’avais dĂ©jĂ  vu auparavant. J’irai le voir de plus prĂšs trĂšs vite, je crois. En attendant, j’ai de plus en plus faim. Je vais aller voir ma nouvelle maison et me prĂ©parer Ă  manger. Celle-ci est beaucoup moins coquette Ă  l’intĂ©rieur ! Il n’y a vraiment que le strict minimum comme m’avait prĂ©venue l’agent immobilier qui m’avait aussi gentiment rappelĂ© que, pour le prix, il ne fallait pas s’attendre Ă  des miracles ! Bon, j’ai quand mĂȘme une tĂ©lĂ© pour me distraire
 Mes parents qui se plaignaient de la maison dont on avait hĂ©ritĂ© dans ce monde, s’estimeraient heureux en voyant la mienne. En prĂ©parant une bonne salade dans ma petite cuisine, mes pensĂ©es vagabondent. J’ai quittĂ© mes parents aprĂšs la brume et je ne les reverrai jamais. Je les ai abandonnĂ©s car je suis l’Elue et que je suis bien dĂ©cidĂ©e Ă  suivre les consignes de notre CrĂ©ateur pour remettre le monde en ordre. Je n’ai pu emporter avec moi que quelques vĂȘtements choisis d’avance et une petite trĂ©sorerie qu’il m’a octroyĂ©e et je suis bien dĂ©cidĂ©e Ă  me faire une nouvelle vie. La fameuse trĂ©sorerie m’a permis d’acheter ce taudis mais il ne me reste presque plus rien Ă  prĂ©sent 3579 § d’avance
 Pas de quoi en faire des folies. Il me faut trouver du travail, et trĂšs vite ! Je suis encore perdue dans mes pensĂ©es lorsque j’entends sonner Ă  la porte ou plutĂŽt frapper Ă  la porte. Mes voisins viennent me souhaiter la bienvenue ! Je les invite Ă  entrer afin de ne pas les vexer et nous entamons diverses conversations sur les changements dans le quartier que je ne connais pas encore et la mĂ©tĂ©o grand sujet, la mĂ©tĂ©o ! Ils sont tous fort sympathiques mais je me sens plus d’affinitĂ©s avec Summer drĂŽle de prĂ©nom, non ?, une jeune femme de mon Ăąge avec qui j’ai beaucoup ri. Peut-ĂȘtre deviendrons-nous amies, qui sait ? Mes gentils voisins se sont un peu Ă©ternisĂ©s mais cela m’a fait du bien de rencontrer de nouvelles personnes qui n’ont rien Ă  voir avec mon passĂ©, des personnes simples et sympathiques, prĂȘtes Ă  aider sans contrepartie. Richard m’a d’ailleurs informĂ©e qu’un gros cabinet de la finance appelĂ© Dewey, Cheatem et Howe cherchait en urgence un employĂ© pour son service courrier. Une de ses amies y travaille et il m’a laissĂ© son numĂ©ro direct pour que je puisse la contacter. Elle s’appelle Siobhan Fyres. Quelle chance pour moi ! Je les salue du pas de la porte, ravie quand mĂȘme de les voir partir un peu de solitude ne fait pas de mal, n’est-ce-pas ? J’ai appelĂ© Mme Fyres. Le premier contact a Ă©tĂ© plutĂŽt bon et j’ai presque » dĂ©crochĂ© le boulot contre toute attente. Elle m’a confiĂ© la mission de remplir quelques rapports afin de se faire une idĂ©e de ce dont je suis capable. Le seul hic, c’est que je n’ai pas d’ordinateur et que les rapports doivent ĂȘtre Ă©crits sur ordinateur
 J’ai un peu menti, il est vrai, pour avoir le job
 Bon je vais manger et rĂ©flĂ©chir Ă  une solution. Je mange vite fait tout en dĂ©cidant de me rendre aux archives de Willow Creek. Summer m’a suggĂ©rĂ© d’y aller rapidement pour connaĂźtre l’histoire de la ville mais je me souviens surtout qu’elle a mentionnĂ© qu’il y avait quelques ordinateurs. Je projette donc d’y remplir ces fameux rapports. J’ai vraiment besoin d’argent et donc, de ce travail. Il FAUT que Madame Fyres m’emploie. Il est tard mais je prends mon courage Ă  deux mains et je file Ă  la bibliothĂšque. Je vais y travailler de longues heures et rencontrer la bibliothĂ©caire, une femme pleine de savoir qui est aussi gardienne de l’histoire de Willow Creek. Elle m’a fourni beaucoup d’informations utiles sur Willow Creek et, principalement sur le quartier oĂč je rĂ©side. Elle a Ă©galement vaguement fait mention d’un arbre mystĂ©rieux qui renfermerait un secret. Je devine qu’il doit s’agir de cet arbre magnifique que j’ai vu plus tĂŽt. Je la remerciai sincĂšrement, avant de partir, pour toutes les prĂ©cieuses informations qu’elle venait de me donner. Enfin Ă  la maison ! La nuit est dĂ©jĂ  tombĂ©e, il fait froid dehors mais j’ai envie de profiter de cet air vivifiant pour faire une petite visite dans le quartier. J’y dĂ©couvre un petit jardin fort sympathique. Il y a un petit panneau Ă  l’entrĂ©e indiquant que les plantations sont Ă  dispositions des habitants et que la cueillette y est gratuite ! Je cueille donc quelques produits en me promettant de m’intĂ©resser davantage Ă  la cuisine. Ce serait dommage de maltraiter tous ces produits frais ! Je prĂ©vois dĂ©jĂ  de planter dans mon jardin une variĂ©tĂ© de chaque plante rĂ©coltĂ©e et de garder le reste au frigo. Je pourrai ainsi bĂ©nĂ©ficier d’un revenu supplĂ©mentaire en vendant mes propres produits et me faire de bons petits plats dans le mĂȘme temps ! AprĂšs la cueillette, je file pĂȘcher. C’était trop tentant. Cette riviĂšre me tend les bras ! Depuis toute petite, je rĂȘvais de pĂȘcher mais mes parents n’ont jamais voulu que je m’y essaye. La pĂȘche est une activitĂ© de oisifs. » disaient-ils. Rester lĂ , sans rien faire, Ă  attendre un poisson ! Ce n’est pas comme ça que tu rĂ©ussiras dans la vie ! » Et nous n’en avons plus jamais reparler, sauf lorsque Papa a voulu faire cette vidĂ©o de quartier avec moi. Pff, quel hypocrite, quand j’y pense. Je pĂȘche depuis deux heures lorsque quelque chose attire mon attention
 Quelque chose qui brille... Cela vient de l’arbre. Je me souviens de lui. J’en avais eu peur lorsque j’étais adolescente. C’est le bel arbre majestueux ! Cette fois, je m’approche sans crainte. Il est resplendissant avec toutes ces couleurs qui ressortent dans la nuit ! Il semble illuminĂ© de mille feux ! Je n’ai jamais vu ça. Je m’en approche, confiante. Il faut que je voie ça de plus prĂšs. Il change de couleur. Il est tout simplement magnifique. Je l’inspecte une premiĂšre fois puis une deuxiĂšme mais je ne comprends pas. Je suis tellement subjuguĂ©e que j’ai l’impression qu’il me parle. Alors je lui par de ses racines. C’est ridicule, je sais mais il est bien connu que cela fait du bien aux plantes de leur parler alors pourquoi pas aux arbres ! D’instinct, je complimente mĂȘme ses feuilles
 et je vais mĂȘme l’arroser. Pourquoi pas ? MĂȘme un arbre a besoin d’eau et j’ai l’impression qu’il me souffle ses besoins Ă  l’oreille. Je lui fais une promesse. Oui, une promesse Ă  un arbre. Je lui promets de toujours m’occuper de lui et j’espĂšre sincĂšrement que je m’y tiendrai. Cet arbre est superbe. C’est MON ARBRE majestueux. Je sais que je pourrai venir lui parler et qu’il m’écoutera sans prĂ©jugĂ©s. Cependant, je tiendrai mes promesses demain. Je suis trop fatiguĂ©e. Demain, je suis reçue par Siobhan Fyres pour la lecture et les commentaires de mon rapport. Il est impĂ©ratif que j’aie les idĂ©es claires. Je vais donc me coucher car je n’ai que trop tarder
 L’appel de la nature, me direz-vous. Mais aussi ce calme qui rĂšgne la nuit et me permet de profiter d’elle en toute sĂ©rĂ©nitĂ©. Je vais donc me coucher, un peu Ă©tourdie par cette journĂ©e mais trĂšs heureuse ! J’adore Willow Creek, j’adore mon quartier avec son jardinet, sa riviĂšre pleine de poissons et son bel arbre majestueux que j’aime tant ! J’aime ce calme si diffĂ©rent de l’agitation de Del Sol Valley. Le lendemain matin, je suis fin prĂȘte et Ă  l’heure ! pour aller chez Dewey, Cheatem et Howe ! j’ai envoyĂ© mon rapport hier soir hier soir par internet de la bibliothĂšque et ils m’attendent pour une prĂ©sentation en bonne et due forme. Je n’ai pas beaucoup dormi car je voulais me lever de bonne heure pour profiter de la fraĂźcheur matinale tout en visitant des coins que je n’avais pas encore vus et je suis revigorĂ©e. Je pars donc, dĂ©terminĂ©e et d’une motivation sans fin. Je VEUX le job ! Ce soir, je rentre chez moi, vraiment embarrassĂ©e
 J’ai dĂ©crochĂ© le poste. Bon, j’ai un peu » lĂ©chĂ© les bottes du patron toute la journĂ©e mais je pense que ça valait le coup. MĂȘme Siobhan me l’a confirmĂ© ! Nous avons beaucoup discutĂ© en apartĂ© et son appui m’a Ă©tĂ© des plus favorables. La direction me fait passer directement EmployĂ©e de bureau. Elle m’a offert une belle plaque de bureau pour le travail fourni. Il paraĂźt, d’aprĂšs Siobhan, que je vaux plus qu’un simple employĂ© de service courrier. Siobhan et moi nous parlons beaucoup dans les couloirs mais, petit Ă  petit, nous apprenons Ă  nous connaĂźtre. C’est une vraie bouffĂ©e d’air dans cette entreprise tellement sectaire. Mon embarras enfin passĂ©, je m’en vais dans ma » nature pour arroser mon bel arbre majestueux que j’aime tant lorsque je reçois un appel de Summer. Elle m’appelle beaucoup ces derniers temps. Nous passons de longues heures au tĂ©lĂ©phone mais il est vrai que sa proposition d’aller boire un verre me tente assez. Je laisse l’arbre pour le moment et je file Ă  la bibliothĂšque remplir mes rapports avant de me rendre Ă  ce bar Ă  cocktails dont tout le monde parle ! Nous nous installons au bar. Summer est un vrai rayon de soleil dans ma vie sans amis Ă  part Siobhan au travail. Nous avons beaucoup de mal Ă  discuter car il y a du monde. Nous nous installons donc Ă  une table plus en retrait. Et nous fĂźmes bien car, au fil des discussions, nous nous dĂ©couvrĂźmes des points communs. Nous parlĂąmes une bonne partie de la nuit avant de nous quitter. Summer m’annonçùt avoir beaucoup de travail le lendemain et qu’il Ă©tait temps de partir. Je serais bien restĂ©e encore un peu mais il faut savoir ĂȘtre raisonnable de temps en temps. Je crois que Summer et moi sommes toutes deux devenues amies ce soir-lĂ . Je suis un peu triste qu’elle parte mais je comprends. Il faut dire que je me sens parfois un peu seule dans cette nouvelle vie sans Amandine qui me manque terriblement et que je ne peux appeler ni Ă  Elsa, ni Ă  Orange pour me consoler. Je me demande si ces deux-lĂ  forment un couple Ă  prĂ©sent, oĂč qu’ils soient
 Ce matin-lĂ  je me lĂšve de bonne heure pour profiter de Dame Nature au petit matin. Je vais voir mon arbre, complimente ses superbes feuilles puis l’arrose de nouveau. L’arbre se met Ă  gronder, le sol tremble un peu sous mes pieds et, le temps de reprendre mes esprits, je m’aperçois qu’il m’a ouvert un passage Ă  la base de son tronc. Je reste figĂ©e de stupeur quelques secondes puis rĂ©alise que je suis certainement Ă  deux doigts de dĂ©couvrir le mystĂ©rieux secret dont m’avait parlĂ© la bibliothĂ©caire. Je dois malheureusement abandonner l’idĂ©e d’explorer cette cavitĂ© dans l’immĂ©diat car je dois me rendre au travail. Je sais dĂ©jĂ  que je vais avoir du mal Ă  tenir en place en attendant le moment de retourner vers mon arbre. De retour en fin de journĂ©e, je file me ressourcer Ă  la dĂ©couverte de Willow Creek. Je suis en extase chaque fois devant les endroits magnifiques qui s’offrent Ă  moi, cette nature verdoyante et paisible
 si Ă©loignĂ©e de la vie trĂ©pidante que je menais Ă  Del Sol Valley. Lorsque j’arrive devant la maison, je rencontre le jardinier de Willow Creek. Il s’apprĂȘtait Ă  aller entretenir le petit jardin mais j’en profite pour me prĂ©senter. C’est un homme tout Ă  fait charmant. Ravi de connaĂźtre quelqu’un d’aussi passionnĂ© que lui par le jardinage et les beautĂ©s de la nature, il m’invite Ă  le suivre pour me donner quelques conseils. Et quels conseils ! Il n’en est pas avare. GrĂące Ă  lui, je vais pouvoir sĂ©rieusement me lancer pour rĂ©aliser mon projet de jardinage. Je resterai l’écouter pendant des heures mais, pour le moment, je dois faire autre chose. Je dois aller voir mon arbre et percer son mystĂšre. Je ne sais pas ce qui se trouve derriĂšre aprĂšs tout. Je ne suis mĂȘme pas Ă©quipĂ©e pour ce genre d’aventure. A part les vĂȘtements de rechange que j’ai dans mon sac et une lampe torche, je n’ai rien. Et s’il m’arrivait quelque chose ? Je n’ai dit Ă  personne oĂč j’allais. Mais Ă  qui l'aurais-je dit ?... Tant pis, je me lance ! Je ne suis pas une froussarde. Tout ira bien ! Il fait trĂšs sombre lĂ -dedans ! MĂȘme avec la lampe torche, je n’y vois presque rien et j’avance Ă  tĂątons dans l’obscuritĂ©. J’entends un petit bruit il guide mes pas vers une sorte de brume. J’ai peur la derniĂšre brume que j’ai vue ne prĂ©sageait rien de bon. mais j’entends le murmure de l’arbre. Il veut que je continue
 Il appelle l’Elue
 Je m’enfonce dans le brouillard
 Une brume Ă©paisse... plus encore que la derniĂšre que j'ai subie... L'arbre continue Ă  m'appeler... A suivre... Post edited by nathalie986 on mars 2021 3 Ca va bien se passer Perrine, tu vas voir, elle est jolie comme tout la clairiĂšre ! J'ai beaucoup aimĂ© le prologue, c'est toujours bien de donner un vrai background aux fondateurs je trouve, ça les rend tellement plus attachants. Maintenant la G1 du SBS, et la joie des fringues et meubles du jeu de base, la misĂšre quoi Bon courage ! Donc, Perrine se fait des copines et a trouvĂ© du boulot, trĂšs bon dĂ©but. Prochaine Ă©tape trouver l'amour ? Quelle est la collection que tu as choisie ? Les poissons ? 1 Wow Perrine a tellement grandis, je m'en souviens encore quand c'Ă©tait une bambine dans ce monde qui Ă©tait le sien , mais son ancien monde n'existe plus, donc tout c'est amie on aussi disparu Elsa et orange ? Oui c'est vrai que parents ne l'aimais pas j'avais l'impression, donc voilĂ  Perine va faire sa nouvelle vie et je suis sur que avec le temps il vont l'oublier d'aprĂšs ce que tu a dit dans la derniĂšre Ă©pisode En vrai ça me fait peur 😂 du jour au lendemain nouveau monde, elle est l'Ă©lue, doit faire des tĂąches prĂ©cise pour crĂ©er un nouveau monde j'aurai trĂšs peur Ă  sa place 😬 Mais courage elle va rĂ©ussir, en plus nouveau voisins super 😉 Elle est enfin libre de faire ce qu'elle veut, et mystĂ©rieux cet arbre 1 ah oui, continue comme ça Perrine! Tu as un job, des amies qui se profilent... c'est dĂ©jĂ  super ! Et bientĂŽt la dĂ©couverte de la clairiĂšre derriĂšre cette mystĂ©rieuse brume... chouette chapitre ^^ comme dis plus haut, plus que l'amour mdr en tout cas, elle est motivĂ©e et c'est important! 1 Les parents de Perrine ne vont plus jamais revoir leur filles et bien fait pour eux, ils ne s'occupent jamais d'elle, au moins Perrine va bien Ă©voluer dans eux, la seule chose qui me fait peur c'est comment Perrine va faire , va t'elle bien rĂ©ussir sa dynastie et ses amis de l'ancien monde doivent beaucoup la manquĂ©, c'est tellement Ă©trange, je trouve ce challenge cool mais j'aurai pas assez de patience pour le faire 1 Return to top

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  • j ai pas connu papa mais maman elle a gerer